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ECONOMIE

L'économie, ou l'activité économique (du grec ancien οἰκονομία / oikonomía : « administration d'un foyer », créé à partir de οἶκος / oîkos : « maison », dans le sens de patrimoine et νόμος / nómos : « loi, coutume ») est l'activité humaine qui consiste en la production, la distribution, l'échange et la consommation de biens et de services. L'économie au sens moderne du terme commence à s'imposer à partir des mercantilistes et développe à partir d'Adam Smith un important corpus analytique qui est généralement scindé en deux grandes branches : la microéconomie ou étude des comportements individuels et la macroéconomie qui émerge dans l'entre-deux-guerres. De nos jours l'économie applique ce corpus à l'analyse et à la gestion de nombreuses organisations humaines (puissance publique, entreprises privées, coopératives etc.) et de certains domaines : international, finance, développement des pays, environnement, marché du travail, culture, agriculture, etc.


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Préoccupations et orientations dominantes actuelles

Alors que le maitre-mot au début des années 60 était la croissance globale, l'ourture grandissante des économies sur l'extérieur et l'intensification de la concurrence mondiale conduisent aujourd'hui A  accorder une importance primordiale au renforcement de la compétitivité de l'économie.
Certes, croissance et compétitivité sont liées, mais la recherche prioritaire de l'insertion la plus habile dans la division internationale du travail, et ceci dans une perspecti dynamique, modifie la vision des choses et nuance la hiérarchie des points d'impact recherchés de l'action publique et le choix des instruments privilégiés pour cette action.
Le cas de la France illustre très spectaculairement cette évolution. Vers 1960, deux préoccupations dominaient dans les s quinquennaux de modernisation et d'équipement : la stimulation de l'instissement global, le respect de la cohérence des rythmes de déloppement des dirses branches.
Aujourd'hui, les préoccupations les plus couramment exprimées concernent une acceptation suffisante du risque (recherche et instissement A  l'aide de capital-risque) et une intense adapilité de l'appareil productif de faA§on A  suivre rapidement l'évolution technique et la transformation de la demande et de l'offre mondiales.
Plus généralement, les orientations dominantes de la politique d'efficacité en Europe sont actuellement ' et ont toutes chances de continuer A  demeurer ' les suivantes :
' confiance dans le mécanisme du marché décentralisé et volonté de le faire fonctionner au mieux en renforA§ant Padapilité de l'économie et en s'ouvrant sur l'extérieur, mais aussi souci d'infléchir le rythme spontané d'évolution de certaines branches, soit en l'accélérant pour des raisons économiques ou politiques, soit en le ralentissant pour tenir compte de préoccupations sociales. Cela se traduit par des actions sur quatre points : cohérence interne du système économique, adapilité de l'économie, mobilité du capital, politique de recherche.
Il faudra enfin évoquer les impulsions de nature para ou extraéconomiques.

A / LES RESSORTS DE L'éCONOMIE DE MARCHé DéCENTRALISéE A RESPECTER

L'idée de base de l'économie de marché décentralisée est double :
' utiliser le marché comme une institution créatrice d'informations permettant d'éclairer correctement les décisions des acteurs décentralisés ;
' utiliser le dynamisme spontané des acteurs économiques individuels, dès lors qu'ils sant et constatent que leur dynamisme, utilisé A  bon escient, peut leur profiter.
Les interntions qui ésectiunent les prix des coûts sont en contradiction ac la première idée.
Les interntions publiques qui créent des discriminations entre acteurs économiques et des différences dans les résultats (dans les profits) qui ne découlent pas, soit de conditions objectis, soit d'écarts dans le dynamisme et l'habileté de gestion de ces acteurs, sont en contradiction ac la seconde idée.
On ne peut en conclure que ces interntions soient radicalement A  prohiber : elles peunt en effet AStre motivées par des considérations extra ou para-économiques (sociales, politiques) qu'il est du rôle de l'Etat de faire prendre en compte dans le fonctionnement de l'économie : la vie d'une société ou d'une nation n'est pas exclusiment économique.
Mais on doit soigneusement respecter trois conditions :
' avant d'engager, en vue d'objectifs aussi bien économiques que sociaux ou politiques, des actions qui sont en contradiction ac la logique de l'économie décentralisée, il faut en peser soigneusement les gains escomptés et les effets perrs, et s'assurer que les premiers l'emportent sur les seconds ; dans le choix mASme des instruments détaillés d'interntion, il faut procéder A  la mASme analyse avantages-inconvénients ;
' il faut iller A  ce que la politique économique ait une continuité suffisante pour qu'elle n'introduise pas des incertitudes nocis A  la rationalité des décisions des acteurs décentralisés ;
' enfin, il est fondamental que les interntions soient en conformité ac la logique profonde d'une économie décentralisée, où les résultats obtenus par les acteurs (gain ou perte) sont liés A  l'efficacité de leur comportement. Ainsi, des aides ourtes également A  tous sont a priori conformes (reste A  vérifier qu'elles sont utiles), des aides différenciées sont par contre A  examiner très soigneusement.
Au prix d'une certaine simplification, on peut évoquer comme suit l'évolution des dernières années dans quelques pays :
' la France a déloppé sa croyance en l'utilité de l'économie de marché pour renforcer l'efficacité, peut-AStre par suite de multiples médiocres résultats des interntions publiques, certainement aussi du fait de son ourture extérieure ;
' l'Allemagne a nuancé sa vision de la Sozialmartwitschaft et, notamment depuis les difficultés apparues au début des années 70, a augmenté l'ampleur de ses subntions (différant toutefois de la France par l'accent mis sur les détaxations fiscales plus que sur les rsements directs) ;
' le cas du Royaume-Uni est un peu différent, car la rupture voulue par Mme Thatcher ac les pratiques antérieures A  conduit A  aller plus loin dans l'abandon des interntions publiques que sur le continent (ac, toutefois, d'appréciables exceptions) et A  s'engager dans un vigoureux programme de privatisations.
Les modalités sont donc nuancées dans la réponse donnée A  une préoccupation commune, ce qui reflète évidemment des disparités d'origine historique et sociologiques, mais aussi la difficulté de définir une formule pleinement efficace.
De faA§on ramassée, on peut dire que le marché est imparfait ' et doit donc AStre corrigé ', mais que l'Etat aussi est imparfait ' de mASme que son bras séculier, l'administration. La formule souhaile n'est donc ni rien que le marché, ni essentiellement l'administration : les deux sont utiles, les deux sont indispensables, mais un défi des économies modernes est la recherche de l'équilibre optimal des rôles de chacun des deux.
Dans cette recherche, trois éléments doint jouer un rôle primordial : l'information, la responsabilité, la cohérence.
Une bonne information, tant sur la situation actuelle que sur les perspectis d'évolution, est évidemment la base nécessaire de bonnes décisions ; on en a déjA  parlé au chapitre précédent et on ne saurait trop souligner l'importance d'un bon appareil statistique (et donc l'élaboration de statistiques ables entre pays)5.
La responsabilité signifie que les acteurs économiques doint subir la conséquence de leurs actes et de leurs décisions économiques : profit et salaires élevés en cas d'efficacité et de succès, faillites et pertes d'emploi dans le cas contraire. Mais, plus précisément, il faudrait que chacun ne supporte que les conséquences des décisions qu'il a prises, ou contribué A  prendre ; cela pose tout le problème des conséquences, pour de multiples individus, d'événements extérieurs A  leur propre comportement : le salarié compétent et actif qui perd son emploi du fait de l'évolution technique ou de la mauvaise gestion de l'entreprise où il travaille, l'entreprise qui subit les effets d'une récession macro-économique, d'événements politiques extérieurs (ou intérieurs), des phénomènes naturels. Ces situations génèrent un sentiment d'injustice qui n'est pas favorable au dynamisme de l'économie, et des interntions publiques sont alors en parfaite conformité ac l'esprit d'une économie de marché A  base d'initiatis individuelles (allocations de chômage, aides A  la reconrsion et la réadaptation, dédommagement sur fonds publics de chocs extérieurs ' crise du golfe, sécheresse ', mais aussi taxation d'enrichissement sans cause).
La cohérence sera favorisée si l'ensemble des acteurs se situent A  peu près dans une vision prospecti ; c'est le rôle de l'élaboration d'une stratégie concertée d'évolution A  moyen et long terme, sur laquelle on reviendra au chapitre 8.


B / L'ADAPTABILITé DE L'éCONOMIE A RENFORCER


Les trois éléments de blocage essentiels des économies européennes qui sont actuellement le plus sount évoqués concernent l'insuffisante formation de la main-d'ouvre, les rigidités d'origine réglementaire, l'acceptation sociale des transformations.
L'accélération des transformations de la technologie ne peut AStre exploitée, au niau des techniques effectiment utilisées, que si la qualification de la main-d'ouvre est correctement adaptée. Le respect de cette condition exige l'amplification de la fraction de la population acti bénéficiant d'une formation initiale, et de la fraction de la population au travail qui bénéficie d'une formation continue en vue du recyclage nécessaire. Mais cet aspect quantitatif n'est évidemment efficace que si s'y ajoute aussi un aspect qualitatif. Il parait a priori souhaile que les jeunes s'orientent rs les types de formation préparant aux qualifications qui seront demandées demain et après-demain ; il s'agirait d'ailleurs moins d'une orientation contraignante que d'une information plus ample et plus claire ; mais l'expérience a montré qu'il est extrASmement difficile de prévoir dans le détail, A  plusieurs années d'échéance, les besoins de chaque qualification (dont certaines sont mASme imprévisibles) ; il faut donc que la formation proposée prépare aux changements en cours de carrière et que l'effort global d'éducation renforce la part relati de la formation permanente.
La conviction qu'une adaptation continuelle et, dans de nombreux cas, une réadaptation profonde (voire un changement complet de métier) en cours de vie acti est indispensable doit pénétrer les ceraux des individus, des entreprises et de l'administration comme employeur, ainsi que de l'éducation nationale.
Pour que les adaptations et restructurations nécessaires aient lieu, encore faut-il qu'elles ne soient pas bloquées ou gASnées par des réglementations : c'est tout le thème des rigidités, qui concernent essentiellement le marché du travail. Mais il faut aussi qu'elles soient psychologiquement acceptées par ceux qui auront A  les vivre, et sount en apprécient mal l'intérASt, car si elles sont sount la condition de survie de l'entreprise (et donc la perpétuation de l'emploi et du salaire), elles n'entrainent pas toujours une augmentation du salaire ; l'acceptation sera donc favorisée par un effort d'information ample et aussi précoce que possible (c'est le vaste thème de l'organisation de l'information ' et de la participation ' dans l'entreprise) et par une certaine prise en charge collecti (donc publique) des coûts sociaux du changement.
Plus largement, les réglementations protégeant contre les changements se sont multipliées au cours des années 60 et 70, où le déloppement du - bien public - constitué par la sécurité paraissait devoir constituer un emploi prioritaire des fruits de la croissance.
L'évolution des dix ou quinze dernières années a fait ressortir les effets négatifs d'une partie de cette réglementation sur Padapilité et donc l'efficacité économique et on est donc amené A  remettre en cause la balance entre les effets positifs de caractère social et les effets négatifs de caractère économique de certaines réglementations, ainsi qu'A  rechercher si d'autres formules que celles adoptées ne pourraient pas AStre globalement plus satisfaisantes. C'est une recherche qu'on doit mener de faA§on très concrète et sans préalables idéologiques.

C / LA MOBILITé DU CAPITAL A AUGMENTER, MAIS A CONTRA"LER

C'est ac un sérieux décalage par rapport A  la mobilité des biens et services que s'est rélie la mobilité des capitaux (totalement rompue par la guerre), tant A  l'intérieur de certains pays (tels la France) qu'A  l'échelon international (intra CEE et monde en général). Mais le retard a été rattrapé A  vi allure depuis quelques années.
Les problèmes de demain ont alors changé de nature, mais ne demeurent pas moins prioritaires, tournant autour de trois thèmes : assurer l'efficacité du marché des capitaux, mettre de l'ordre dans les conséquences de cette mobilité, tant sur l'équilibre macro-économique que sur la répartition des renus6.
De la mobilité des capitaux, l'économiste attend primordialement une amélioration de l'affectation de l'épargne nationale entre ses dirs emplois (le financier en attend aussi la possibilité de mieux se prémunir contre les risques individuels). Or, pas plus qu'aucun autre marché important, le marché des capitaux ne peut fonctionner correctement sans une certaine dose de surillance publique, qui va porter ici primordialement sur la qualité et la transparence de l'information.
Pour que le marché joue bien son rôle, il est en effet précieux qu'il puisse proposer une suffisante variété de - produits -, différenciés suivant le terme et suivant le risque. La prolifération de nouaux instruments financiers vise A  cela et, A  cet égard, présente des mérites. Mais encore faut-il que la nature exacte de chaque produit soit bien comprise par tous les opérateurs sur le marché et c'est ici que, dans une certaine mesure, le bat blesse. En particulier la sophistication du marché va A  rencontre de sa clarté, ce qui introduit une différentiation croissante entre les emprunteurs, et notamment entre grandes et petites entreprises, inégalement aptes A  apprécier la subtilité des différences entre produits. Une réglementation de l'activité financière est ainsi nécessaire, qui ne peut AStre que communautaire.
Le second problème créé par la libéralisation des capitaux concerne l'impact sur les phénomènes monétaires, internes et externes. La facilité supplémentaire donnée aux mouments de capitaux permettra A  ceux-ci d'avoir lieu ac des différentiels d'intérASt plus faibles entre places financières : il en résultera une réduction d'efficacité des politiques monétaires nationales et le risque d'une insilité croissante des taux de change ; on reviendra sur ces points au chapitre suivant.
Enfin, le capital a toujours soulevé un problème en ce qui concerne la répartition des renus. Le gonflement de la sphère financière, la possibilité de - gagner de l'argent en dormant - (Mitterrand) (mais aussi d'en perdre, l'expérience des kracks boursiers l'a montré) préoccupent tous ceux qui s'interrogent sur l'éthique ; question difficile, susceptible de troubler l'opinion publique et de créer des éléments d'insilité dans le fonctionnement de la société. Une réflexion approfondie, déjA  engagée, devra se délopper sur ce sujet.

D / L'IMPORTANCE ACCORDéE A LA RECHERCHE-DéVELOPPEMENT A AMPLIFIER

Le rôle décisif des noulles connaissances dans la croissance économique et l'amélioration de la compétitivité est de plus en plus reconnu. Mais il y a deux moyens d'obtenir les connaissances, les créer soi-mASme en pratiquant la recherche chez soi, ou les acheter (brets, licences) aux pays qui ont fait la recherche.
Ce choix est largement, mais pas totalement ourt. D'une part, l'achat de licences peut permettre de faire des économies et de gagner du temps, mais il met sous la dépendance extérieure ; sur ce point l'appréciation de l'inconvénient d'une telle situation peut AStre fort différente pour l'entreprise et l'Etat ; d'autre part, le marché des noulles connaissances est loin d'AStre transparent et parfaitement fluide : il en résulte qu'il peut AStre impossible de se procurer certaines connaissances dès qu'elle existent, ce qui fait prendre du retard dans la course économique aux entreprises ou aux économies qui ne les ont pas élaborées.
Trois raisons essentielles peunt justifier des interntions publiques dans ce domaine :
' le caractère fondamentalement risqué de la recherche et de la mise en ouvre de ses résultats (risque au niau du laboratoire, de la production ultérieure, de la commercialisation) et l'influence sur le niau tolérable du risque de la surf ace financière de l'organisme qui s'y engage : il se peut donc qu'une opération A  espérance mathématique de gain positi paraisse trop risquée pour une entreprise, alors qu'elle est raisonnable pour l'économie nationale {a fortiori pour un groupe de pays) ;
' l'existence de complémentarités ou synergies entre dirs thèmes de recherche. L'absence de certaines recherches en amont peut bloquer le progrès en aval ;
' les inconvénients de la dépendance extérieure dans l'obtention des noulles connaissances.
Pour augmenter l'effort global de recherche du pays, et orienter l'effort de recherche dans certains domaines (ou sur certains thèmes), l'Etat a recours a deux modalités essentielles : exécuter ou cofinancer. Dans les deux cas, il y a un financement public, mais les trois éléments : décision, financement, exécution peunt AStre répartis entre l'Etat et les entreprises de multiples faA§ons. Il faut notamment souligner que financement et exécution peunt AStre complètement dissociés. On peut énu-mérer les principales formules par ordre d'interaction décroissante :
' exécution dans un laboratoire public (ex. cnet, ifremer, Unirsités, cnrs). II y a A  la fois décision, exécution et financement publics ;
' lancement public d'un projet, financement public (total ou partiel), mais exécution dans des entreprises ;
' participation financière définiti A  des projets exécutés dans des entreprises et dont le thème précis est décidé par celles-ci A  l'intérieur d'un domaine déclaré prioritaire par la puissance publique (programmes esprit de la cee et eurASka en Europe) ;


' participation financière remboursable en cas de succès.

Le recours aux dirses modalités est très variable d'un pays A  l'autre : c'est ainsi que plus de la moitié du financement de la recherche est public en France et aux Etats-Unis, contre moins d'un tiers aux Pays-Bas, moins d'un quart au Japon.

E / LES IMPULSIONS DE NATURE PARA OU EXTRAéCONOMIQUES A CONTRA"LER

A côté de l'action par des instruments proprement économiques ou financiers, le gournement peut donner aux entreprises des impulsions par des moyens de nature différente.
Il s'agit d'abord d'utiliser des relations commerciales pour exercer une influence sur des décisions de l'entreprise qui ne sont pas directement liées au champ de ces relations. L'exemple le plus spectaculaire est certainement l'utilisation de l'octroi de marchés publics pour susciter des spécialisations ou des regroupements d'entreprises : on l'a vu en France, pour le matériel ferroviaire et les constructeurs de chaudières nucléaires, ainsi que pour le matériel de télécommunications.
D'autre part, l'Etat peut utiliser le pouvoir qu'il détient dans ses relations étrangères pour favoriser la passation par des pays tiers de marchés A  ses entreprises nationales : les métros, les grands équipements de télécommunications, pour ne pas mentionner le matériel militaire, sont sount exportés grace A  un coup de pouce politique (sount complété, d'ailleurs, par des facilités financières)7.
De telles pratiques s'obsernt dans tous les pays, mASme ceux qui se déclarent les plus favorables A  la dissociation de l'économique et du politique. On peut craindre que l'évolution rs - moins d'interntion - (sous-entendue économique et directe), loin d'atténuer le recours A  ces méthodes, risque plutôt de l'amplifier, car il s'agit lA  de moyens d'influence relatiment discrets et tombant donc moins que d'autres sous les foudres des organismes, internationaux comme le gatt, ou communautaires.



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