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ECONOMIE

L’économie, ou l’activité économique (du grec ancien οἰκονομία / oikonomía : « administration d'un foyer », créé à partir de οἶκος / oîkos : « maison », dans le sens de patrimoine et νόμος / nómos : « loi, coutume ») est l'activité humaine qui consiste en la production, la distribution, l'échange et la consommation de biens et de services. L'économie au sens moderne du terme commence à s'imposer à partir des mercantilistes et développe à partir d'Adam Smith un important corpus analytique qui est généralement scindé en deux grandes branches : la microéconomie ou étude des comportements individuels et la macroéconomie qui émerge dans l'entre-deux-guerres. De nos jours l'économie applique ce corpus à l'analyse et à la gestion de nombreuses organisations humaines (puissance publique, entreprises privées, coopératives etc.) et de certains domaines : international, finance, développement des pays, environnement, marché du travail, culture, agriculture, etc.


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Le problème de l'eau



Il est désolant de penser que l'eau va denir un dos problèmes clés de la ète au XXIe siècle. Malgré la sophistication de nos modes de vie, l'accélération croissante des progrès scientifiques, l'amélioration des systèmes sanitaires, nous sommes confrontés aujourd'hui A  des problèmes basiques mais intolérables parce que vitaux et touchant l'existence élémentaire de la personne. Peut-on imaginer qu'aujourd'hui plus d'un milliard 400 millions d'AStres humains n'ont pas accès A  l'eau pole ? C'est pourtant la réalité, elle est effrayante. Et demain ne sera pas meilleur : les pronostics émis par la Commission Mondiale de l'Eau sont alarmants : en dépit des progrès accomplis dans la désalinisation des eaux, des performances réalisées en agriculture, de l'utilisation des satellites dans la décourte de noulles sources et quantité d'instissements dans le management de la purification de l'eau, la plupart des difficultés auxquelles nous sommes confrontés aujourd'hui ne seront pas résolues en 2025 Les ingénieurs, savants, techniciens, etc. - ils sont des centaines, y compris les organisations de l'ONU (Unesco, Unicef, OM.S, etc.) -, qui travaillent sur cette gra question, ont publié de volumineux rapports fondés sur le triptyque économie-marché-technologie. Selon ces rapports, l'eau est une ressource naturelle en état de raréfaction croissante (A  cause des phénomènes grandissants de pollution, contamination, gaspillage) et sera de plus en plus coûteuse. Il faut donc, concluent ces spécialistes, gérer l'eau comme une matière première, un bien économique. Or, considérer, comme on l'a fait depuis les origines, que l'accès A  l'eau fait partie des droits élémentaires de tout AStre vivant (comme l'accès A  l'air) implique que c'est la loi qui, dans la société, est garante de ce droit. Cela suppose des règles, des contraintes, des obligations que de nombreux états ' et la plupart des entreprises privées multinationales ' n'ont pas envie de se voir imposer. Ainsi, le débat sur l'eau risque de se solder par la victoire de ceux qui, dissimulés derrière un discours humaniste et libertaire, en restent A  l'ère du capitalisme triomphant, essentiellement guidés par une approche techno-économique et marchande. L'éthique se voit ici bafouée. Demeure une question : le problème de l'eau peut-il AStre résolu par le biais de l'économie ?



Quelques chiffres
L'Unicef estime que 2 milliards 900 millions de personnes n'ont pas accès A  des conditions sanitaires viables et que 80 % des maladies touchant les pays en voie de déloppement sont dos maladies liées A  l'eau : 4 millions d'enfants en sont morts en 2000. D'autre part, en ce qui concerne leur approvisionnement en eau, plus de 20 pays dépendent presque entièrement de leurs voisins ; plus de 200 rivières sont partagées par doux pays limitrophes ; plus de 40 % do la population mondiale vit dans dos bassins partagés par plus do 2 pays (bassins ou rivières qui eux-mASmes sont secs une grande partie de l'année), Le deuxième Forum Mondial sur l'eau, qui s'est tenu A  La Haye en mars 2000, et qui réunissait une centaine d'états, montre combien est préoccupante et gra cette pénurie criante d'un bien élémentaire A  la survie de l'homme. Le management de l'eau commence donc A  s'imposer, pourtant il n'est pas encore suffisamment maitrisé pour éviter les conflits en voie d'éclater entre certains pays. Ainsi, la Turquie et la Syrie, la Jordanie et IsraA«l ou bien l'Egypte et le Soudan risquent très rapidement de se livrer une guerre sans merci pour conserr ou acquérir la propriété d'une substance aussi vitale. Ces conflits d'intérASts particuliers nous laissent craindre que, tant que des dispositions n'auront pas été prises A  l'échelon mondial pour résoudre ce problème, chaque pays se défendra comme il pourra, sans se soucier ni d'équité, ni de partage ac ses voisins


Le problème de l'urbanisation croissante

La plupart des progrès do l'humanité sont nus des villes et non du monde rural. On peut donc penser que l'urbanisation est un bien. Pourtant, il existe un rers A  cotte médaille : la concentration d'une population dans une zone donnée a des effets perrs. Entre autres, la difficulté d'approvisionnement en eau pole quand la consommation devient excessi. Sous prétexte qu'elle coule A  flots par les robinets, on ne ut pas y penser, tout comme on ne pense pas au rejet des eaux usées et des déchets par les grosses entreprises ou les multinationales qui usent et abusent de ce bien offert A  tous. La consommation d'eau mondiale aura plus que quintuplé entre 1950 et 2025, A  cause de la croissance de la population jumelée A  l'urbanisation, au tourisme et A  la hausse dos standards de vie. Cette hausse et cette quantité sont d'autant plus inquiétantes que les barèmes d'eau et ses sources de renoullement décroissent parallèlement
Le changement de climat est également un facteur A  prendre en compte : le réchauffement de la ète accomné de la variation des taux de pluie sape l'efficacité des structures actuelles do contrôle de l'eau, la capacité de son emmagasinemont et de ses modes de distribution et va accentuer le décalage entre les régions affectées par la rareté des pluies et celles régulièrement atteintes d'inondations. Résultat : des migrations massis risquent d'avoir lieu au sein de populations fort denses comme en Inde, en Chine ou au Bcngladesh.
Et comme, nous l'avons vu, toute concentration de population, particulièrement dans des pays en voie de déloppement, risque de faire émerger de noulles maladies et de nouaux problèmes de raréfaction de l'eau, la boucle est bouclée

Exemple de la Chine
Le nombre do très grandes villes en Chine est passé de 130 on 1949 A  600 aujourd'hui. Environ la moitié d'entre elles manquent déjA  d'eau ; de grands efforts sont accomplis pour redéployer de la camne rs la ville l'approvisionnement en eau. On a calculé qu'un mètre cube d'eau utilisé par le biais d'une industrie chinoise génère plus d'emplois et environ 70 % de valeur économique en plus que la mASme quantité employée A  l'agriculture. D'après une étude chinoise datant de 1990, près de la moitié (40 %) de la demande en eau présumée en l'an 2000 devait AStre provoquée par ce redéploiement que nous nons d'évoquer. Et cela d'autant plus que les Nations Unies estiment que la moitié de la population chinoise aura afflué rs les villes en 2025 alors qu'aujourd'hui, seul un tiers de la population chinoise est urbanisé.


La guerre pour l'eau

D'un pays A  l'autre
Si l'eau n'est le bien de personne en particulier, - tout le monde est d'accord sur ce point -, il n'empASche que l'accès ou non A  l'eau est une question vitale pour un pays. On constate que les populations s'accroissent rapidement dans des régions A  cours d'eau (Le Jourdain, le Tigre et l'Euphrate, les régions du Nil) ; si les Etats concernés no se mettent pas d'accord sur un équile partage, de gras conflits sont A  craindre dans ces pays.
Du monde urbain et du monde agricole
Alors que l'urbanisation, la population mondiale et le déloppement de l'économie suint leur courbe ascendante, la concurrence concernant l'utilisation de l'eau entre les mondes urbain et agricole fait de plus en plus rage et risque de denir source de conflit tout court et de tiraillements politiques entre pays. La quantité d'eau consommée par l'agriculture et le monde rural dépasse do loin colle de tout autre usage : cela peut aller jusqu'A  70 % do l'utilisation totale de l'oau dans certaines régions. C'est pourquoi on voit dos pays décider de donner la priorité aux villes, en diminuant autoritairement la consommation d'eau des camnes, et prennent le parti de compenser la perte agricole qui s'ensuit par l'importation de grains nus do l'étranger. Cependant, globalement, puisque la demande mondiale en aliments augmente, la demande en eau pour l'agriculture risque égale-mont d'augmenter. Le cas d'IsraA«l illustre assez bien les problèmes que pose l'utilisation massi dos ressources en eau par le domaine agricole.




Le cas d'IsraA«l

Ce ne sont pas obligatoirement les pays qui nous paraissent les plus démunis qui sont atteints par les plus terribles fléaux. Une gestion maladroite des denrées rares, qui fait peu de cas de la prospecti, suffit A  créer une situation dramatique. Prenons le cas d'IsraA«l : depuis plusieurs années, ce pays consomme l'ensemble de ses ressources disponibles, soit 1,8 milliard de mètres cubes, sans jamais faire de stocks pour satisfaire des besoins qui vont croissant et en pompant sans rgogne dans les territoires palestiniens occupés. Les agriculteurs israéliens en effet consomment au-delA  du raisonnable : ils utilisent 60 % dos ressources en eau du pays et payent A  peine 40 % de son prix, alors qu'ils ne contribuent au PIB qu'A  hauteur de 3 %. Résultat : IsraA«l risque des ruptures d'alimentation en eau pole dans les prochains mois. Il est indispensable que son gournement prenne des mesures d'urgence, et que les ministères en charge de la question de l'eau décident d'un au moins A  moyen terme pour résoudre cette question cruciale.
Les crises profitent toujours A  certains. C'est bien entendu le cas ici : l'occasion semble belle pour prendre le contrôle des systèmes d'eau ; les groupes terroristes si prochos voient tout le parti A  tirer d'une telle maitrise ; et l'on se prend A  trembler en pensant que l'unique réservoir d'eau est le lac do Tibériade, qui pourrait trop aisément AStre rendu impropre A  la consommation par des actes de malillance


Quelques happy few misent sur l'eau pour s'enrichir

Les seigneurs de la finance n'ont pas attendu que la situation se détériore davantage pour agir. La plus ancienne banque privée suisse, Pictet, a lancé, en janvier 2000, le premier fonds d'instissement axé sur 80 valeurs boursières d'entreprises spécialisées dans l'eau. D'après ses calculs, la renilité des instissements dans ce domaine de l'eau est (et sera) particulièrement élevée au cours des quinze prochaines années.

Comment résoudre les problèmes de l'eau


Pour les gournements

Au niau mondial
Avant toute chose, c'est-A -dire avant que la pénurie no s'installe, les gournements, en partenariat ac les organisations internationales, devraient élir des traités et des accords coopératifs pour définir les droits respectifs des nations qui partagent les mASmes ressources en eau. Ceci devrait AStre décidé entre pays, en quelque sorte au - coup par coup -, et non comme un ordre mondial. Il est primordial, dans cette optique, que chacun des pays concernés partage toutes les données, tout particulièrement si les régimes sont autoritaires.
Il faut évaluer la quantité d'eau utilisée par chaque pays afin que l'autre (ou les autres) no soit pas lésé(s). La demande est parfois disparate, elle doit donc AStre minutieusement examinée. Si ce programme nait A  rencontrer le succès espéré, il serait appliqué a d'autres régions qui se trount dans des situations similaires.
D'autre part, la World Bank, Unicef et d'autres organisations internationales sont en train de mettre en œuvre des programmes concernant l'eau et les sanitaires, qui demanderaient un plus grand soutien financier. Il serait sans doute judicieux d'organiser - comme on l'a fait A  La Haye pour le Forum Mondial de l'eau - des rencontres internationales plus fréquentes sur ce sujet, et de mettre en place un réseau d'informations élies par des experts de faA§on A  réaliser des scenarii et programmes adaptés A  chaque région.


Au niau local

Les gournements devraient AStre plus nombreux A  utiliser le prix du mètre cube comme outil de leur politique d'utilisation de l'eau. Bien entendu, cette idée suppose que l'on ait A  sa disposition des systèmes de métrage d'eau efficaces ainsi que des prix fixés par la loi et des statuts précis ; il faut aussi motir le public et l'amener A  réfléchir A  sa propre consommation. Cela peut se faire par des camnes de publicité efficaces et bien ciblées.
Les gournements et les secteurs professionnels concernés devraient aussi, bien entendu, mettre en place des méthodes de recyclage de l'eau utilisée par l'industrie. Ces méthodes pourraient AStre en partie financées par une augmentation du prix de l'eau concédée aux industriels.


Pour les industries et résidents

Dans les pays industrialisés, la demande en eau des villes, dans un futur plus ou moins proche, va AStre moins forte que durant les dernières décennies. La tendance va en effet dans ce sens, car les industriels, et aussi, petit A  petit, les personnes privées, améliorent les conditions d'utilisation d'eau personnelle, par exemple en recyclant les eaux usées, en installant dos installations plus efficaces, en évitant les fuites, etc. Ainsi, les villes absorbent beaucoup moins d'eau en pronance des camnes, car petit A  petit, industriels et citadins prennent conscience d'une nécessaire économie. Dans certaines régions d'Australie, d'Asie et notamment d'Asie Centrale ou des Etats-Unis, on constate un fort moument d'opinion pour rendre aux eaux de sources leur vocation naturelle et ancestrale et pour diminuer la consommation excessi des zones urbaines. Les politiciens, les scientifiques et les citoyens sont de plus en plus concernés - ils s'en inquiètent fort - par la disparition des poissons des rivières et des fleus, l'assèchement des lacs ou le tarissement des sources. L'équilibre sera bien difficile A  trour entre les besoins contradictoires des uns et des autres. Il faudrait que chacun ait conscience que l'eau est une denrée d'autant plus précieuse qu'elle devient rare, et que, en la matière, négligence ou égoïsme sont synonymes de catastrophe



Autres moyens d'augmenter ou de préserr les résers étaires en eau
Certes, la ète entière consomme massiment l'eau, en pensant, surtout pour les pays les plus riches, que puisqu'elle coule encore A  flots, il n'existe aucune raison valable de s'inquiéter dans l'immédiat. Or, nous sommes certains aujourd'hui que les sources d'eau ne seront pas suffisantes dans les années A  nir pour alimenter une ète dont la population est en hausse constante, au sein de laquelle une grande partie, défavorisée par un climat aride, connait déjA  d'énormes difficultés pour subnir seulement A  ses besoins actuels. Il est plus qu'urgent de mettre au point de noulles technologies pour trour d'autres ressources d'eau. C'est ce A  quoi les organisations des Nations Unies s'emploient depuis une bonne dizaine d'années.


La désalinisation

La désalinisation consiste, comme son nom l'indique, A  transformer l'eau de mer en eau douce. C'est un moyen coûteux. On estime que la désalinisation d'une quantité x d'eau salée revient A  2 fois le coût d'une mASme quantité d'eau naturelle ! Il existe plusieurs méthodes pour purifier l'eau salée, mais, comme elles restent excessiment chères, elles sont sount dans la pratique irréalisables. Cependant, c'est une solution valable qu'il convient de mettre au point techniquement. On peut imaginer que des corporations, soutenues par le gournement, se consacrent A  accélérer les recherches destinées A  en réduire le coût et A  trour d'autres technologies plus performantes que celles que nous connaissons aujourd'hui.

Améliorer l'efficacité de l'irrigation dans le monde agricole
Plutôt que de transporter l'eau sur tout un terrain, des systèmes devraient AStre élaborés par des gournements et mis en place par des scientifiques pour permettre A  l'eau de circuler par des canaux d'irrigation.


Utiliser le sel comme source agricole

Un cinquième des hectares de terres irriguées est imprégné par le sel. Aujourd'hui, cela signifie que ces terres sont stériles et inaptes A  l'agriculture. Or, les scientifiques sont en train d'orienter leurs recherches rs la mise au point de végétaux utilisables pour l'alimentation ou l'industrie, capables de trour, mASme dans des dépôts sau-matres, l'eau qui leur est nécessaire.

Perspectis
Jusqu'A  présent, les systèmes d'irrigation étaient organisés et financés par les gournements. Aujourd'hui, dans plus de 25 pays (Inde, Bengladesh, Chine, Indonésie, etc.), on cherche A  transférer les responsabilités des systèmes d'irrigation sur le secteur privé ou les agriculteurs eux-mASmes. Cette responsabilité serait mise en route par les gournements (qui s'effaceraient ensuite] auprès des organisations privées aussi bien qu'auprès des groupes d'agriculteurs. Ce processus vise deux objectifs : réduire les dépenses gournementales et encourager le déloppement des techniques en matière d'irrigation. On pense en effet atteindre ces deux objectifs en réduisant les subntions, et en transférant du secteur public au secteur privé et coopératif la responsabilité du management.
La voie la plus prometteuse reste cependant la lutte contre le gaspillage et le déloppement qualitatif et quantitatif du traitement des eaux usées.

Les fluctuations du prix de l'eau d'un pays A  l'autre
Dans de nombreuses régions, augmenter très fortement le prix de l'eau peut constituer un acte de haut risque sur le politique. Mais une multitude d'options existent entre les deux extrASmes : soit on taxe l'eau A  son plus haut niau, ce qui aurait pour conséquence de mettre les agriculteurs hors du jeu, ac toutes les conséquences que cela impliquerait, soit on la propose quasiment gratuitement A  ces mASmes agriculteurs, ce qui aboutirait A  un gachis de l'eau tout A  fait désastreux. Une option intéressante consisterait par exemple A  élir un barème de prix lié A  la consommation. Les agriculteurs devraient payer le tarif habituel jusqu'A , disons, 80 % de la quantité d'eau qui leur est nécessaire, puis un prix plus important pour les 10 % suivants et un prix relatiment élevé, voire dissuasif, pour les 10 % restants. Cela les inciterait A  prendre conscience du problème et A  suriller de très près leur consommation


Conclusion

Il s'agit donc d'améliorer la situation actuelle et d'éviter une catastrophe future : les solutions ne manquent pas ; il convient de mettre en pratique les recommandations qui ont été évoquées lors des différents sommets consacrés au problème de l'eau. Citons en vrac : améliorer le management des bassins d'eau, instir dans la reforestation, prendre exemple sur le travail effectué par les autorités de la Vallée du Tennessee, qui ont intelligemment abordé le problème, utiliser dans les zones tempérées l'eau de mer gelée, comme cela a été réalisé en Hollande, renforcer la sécurité contre les attaques terroristes, ou, comme le propose le projet international de l'UNEP, mettre en place un système de vigilance immédiate pour évaluer constamment la situation, etc.
Nous rrons dans notre prochain chapitre que, tout comme l'eau, les ressources en énergie, elles aussi, peunt poser problème et réclament également notre attention.





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