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ECONOMIE

L’économie, ou l’activité économique (du grec ancien οἰκονομία / oikonomía : « administration d'un foyer », créé à partir de οἶκος / oîkos : « maison », dans le sens de patrimoine et νόμος / nómos : « loi, coutume ») est l'activité humaine qui consiste en la production, la distribution, l'échange et la consommation de biens et de services. L'économie au sens moderne du terme commence à s'imposer à partir des mercantilistes et développe à partir d'Adam Smith un important corpus analytique qui est généralement scindé en deux grandes branches : la microéconomie ou étude des comportements individuels et la macroéconomie qui émerge dans l'entre-deux-guerres. De nos jours l'économie applique ce corpus à l'analyse et à la gestion de nombreuses organisations humaines (puissance publique, entreprises privées, coopératives etc.) et de certains domaines : international, finance, développement des pays, environnement, marché du travail, culture, agriculture, etc.


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Points de repere la politique économique

Points de repere la politique économique
Elle consiste A  -piloter- l'économie en internant A  court ou moyen terme sur les indicateurs et les structures de l'économie.

Les acteurs

Etat
Le gournement (le ministère de l'Economie et des Finances, le ministère du Budget), le Parlement Il fixe les objectifs de la politique économique, procède aux arbitrages
MASme si son pouvoir d'interntion a été restreint, il conser des marges de manœuvre A  trars les politiques fiscales ou de l'emploi et les politiques structurelles.


Banque centrale

La Banque de France est indépendante depuis 1993. A trars le Conseil de la politique monétaire, elle fixe des objectifs en matière monétaire (augmentation de la masse monétaire, taux d'intérASt).
Depuis le V janvier 1999, la politique monétaire est fixée par la Banque centrale européenne.
- Marchés - financiers
C'est-A -dire les instisseurs institutionnels, les opérateurs financiers, les grandes entreprises, etc.. qui placent leurs capitaux dans les places boursières en fonction des perspectis de renilité. Ils ont vu leur poids considérablement augmenter au cours de ces dernières années A  la faur de la déréglementation financière et de la libéralisation des mouments de capitaux. Ils ne -dictent- pas la politique, mais l'orientent en privilégiant les places boursières les plus rémunératrices.
Organisations internationales
Elles participent A  la coordination des politiques économiques (Groupe des pays les plus industrialisés). Le cas échéant, elles négocient ac les gournements des programmes d'ajustement structurel (FMI).
Groupes de pression Et aussi
La politique économique est soumise aux échéances du calendrier électoral et influencée par les luttes entre les agents qui composent l'Etat.
Le Conseil économique et social (sollicité obligatoirement sur 'tout ou projet de loi de programme A  caractère économique et social'), le Conseil d'analyse économique (CAE), les experts

Les instruments

Politiques conjoncturelles
Elles agissent A  court terme sur les indicateurs macroéconomiques.
Politique budgétaire
C'est l'instrument privilégié des politiques de relance. En cas de récession, elle consiste A  augmenter les dépenses publiques pour compenser la faiblesse des dépenses privées. L'utilisation de l'instrument budgétaire a été remise en cause A  partir des années 70. Principale critique adressée : l'aggravation des déficits publics.
Politique monétaire
C'est l'instrument privilège en cas de surchauffe de l'économie (inflation), dans le cadre de politiques d'austérité ou de rigueur. Elle recouvre les mesures agissant sur les conditions de financement de l'économie (taux d'intérASt, taux de réescompte, encadrement du crédit).
Politique de change
Elle consiste A  assurer le maintien du taux de change de la monnaie nationale par rapport aux devises des principaux partenaires. En cas de déséquilibre de la balance commerciale, elle consiste A  réévaluer (pour réduire le coût des importations) ou A  dévaluer la monnaie pour réduire les exportations.
Politique fiscale
Elle recouvre l'ensemble des mesures allant de la création de taxes A  la définition de l'assiette fiscale (les catégories assujetties A  l'impôt) et de sa progressivité.


Politiques structurelles

Elles portent A  long terme sur les structures économiques et sociales.


Politique sectorielle (industrielle, agricole)

Elle consiste A  protéger ou A  soutenir le déloppement d'une indus secteur. Traditionnellement acti en France, son champ d'action a ét< depuis les années 80-90.


Politique réglementaire

Elle consiste A  définir les règles de la concurrence. Depuis les années 70, on assiste A  un vaste processus de déréglementation, entamé aux Etats-Unis dans le secteur du transport aérien puis bancaire, puis dans le cadre de la construction européenne.


Politique commerciale

Un Etat dispose de tout un arsenal pour limiter les importations (politique défensi) ou promouvoir les exportations (politique offensi). La plupart des mesures protectionnistes (imposition de taxes douanières, contingentement) sont tombées en désuétude du fait de la libéralisation des échanges. Mais les Etats n'ont pas dit leur dernier mot : ils recourent A  un protectionnisme déguisé (ou néoprotectionnisme) A  trars l'imposition de normes ou de labels.

Les indicateurs

BALANCE DES TRANSACTIONS COURANTES : solde des échanges de biens et d'invisibles (services, transferts de salaires).
Taux d'inflation » évolution du niau général des prix.
TAUX DE CHANGE '. valeur de la monnaie par rapport aux devises étrangères des principaux partenaires économiques.
TAUX DE CHA”MAGE '. nombre d'actifs A  la recherche d'un emploi rapporté A  la population acti.
TAUX DE CROISSANCE '. augmentation de la richesse nationale (biens et services) au cours d'une année.

Les contraintes

Contrainte extérieure
Elle s'est renforcée ac la libéralisation des échanges de biens et de services et des mouments de capitaux, mASme si celles a dans le mASme temps offert de noulles sources de financement aux Etats.
DéFICITS PUBLICS
Au cours de ces dernières années, les pays ont connu une augmentation de leurs déficits publics et de leur niau d'endettement. Les remboursements au titre de la dette grènt d'autant le budget. Le traité de Maastricht limite le niau d'endettement des Etats membres A  60% et le déficit budgétaire è 3% du PNB.
Fixité des changes
Dans le cadre d'un régime de change fixe, une monnaie ne peut pas en principe AStre dévaluée ou appréciée au-delA  de certaines limites. C'est le cas de la plupart des monnaies européennes qui font partie du SME (mis en place en 1979). La création de l'euro exclut définitiment le recours A  la dévaluation compétiti pour les pays y adhérant.
Anticipations des agents
Au fil du temps, les agents économiques ont acquis une certaine connaissance des effets de la politique économique. Ils réagissent par conséquent aux mesures prises par le gournement en anticipant les effets de cette politique.
Mais aussi
Les normes européennes, les accords multilatéraux (Gatt ou OMC, par exemple).



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