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ECONOMIE

L'économie, ou l'activité économique (du grec ancien οἰκονομία / oikonomía : « administration d'un foyer », créé à partir de οἶκος / oîkos : « maison », dans le sens de patrimoine et νόμος / nómos : « loi, coutume ») est l'activité humaine qui consiste en la production, la distribution, l'échange et la consommation de biens et de services. L'économie au sens moderne du terme commence à s'imposer à partir des mercantilistes et développe à partir d'Adam Smith un important corpus analytique qui est généralement scindé en deux grandes branches : la microéconomie ou étude des comportements individuels et la macroéconomie qui émerge dans l'entre-deux-guerres. De nos jours l'économie applique ce corpus à l'analyse et à la gestion de nombreuses organisations humaines (puissance publique, entreprises privées, coopératives etc.) et de certains domaines : international, finance, développement des pays, environnement, marché du travail, culture, agriculture, etc.


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Les difficultés et les résultats du programme européen d'examen des politiques culturelles nationales

Les difficultés et les résultats du programme européen d'examen des politiques culturelles nationales
Bien que chaque pays demeure en soi un cas spécifique, les difficultés rencontrées dans la mise en ouvre du programme relènt principalement de trois ordres:
a. la structure de l'Etat (fédérale ou centralisée): elle posera essentiellement problème en Autriche et en Esne'. Dès le séminaire de Stockholm, en 1985, cette difficulté avait été entrevue et présentée par Andréas Joh. Wiesand dans un leau atif des structures d'Etat.


Tableau atif des structures d'Etat


Evaluation des programmes dans les pays dotés d'une administration centrale des affaires culturelles.
Existence d'un ensemble d'objectifs «nationaux» (incontestés) politique culturelle nationale/administration centrale chargée des affaires culturelles.
Contrôle (de la mise en ouvre) des objectifs généraux dans des secteurs spécifiques ou pour les affaires culturelles en général («analyse ex-post»).
Statistiques culturelles nationales (ou possibilité de les réaliser)/indicateurs, sount liés aux réalisations des institutions.
Ministère national (parfois par l'intermédiaire de commissions des politiques); conseils nationaux de la culture; institutions (publiques) spécialisées.
Question de la validité des instruments (le domaine examiné correspond-il effectiment aux objectifs assignés, etc.).
Propositions pour l'amélioration des systèmes fonctionnels (institutions); élissement de noulles modalités de diffusion et de financement de la culture, etc., parfois, suggestions de changements d'objectifs (nouaux domaines de la politique culturelle).
Les institutions ou groupes responsables ajustent les politiques ou les instruments (ou rejettent les propositions).
Examen des affaires culturelles dans les pays à structure décentralisée
Pas d'objectifs pour la politique culturelle/pour la division des pouvoirs et dirsité des intérêts
Inntaire des dirs intérêts, activités et moyens, assorti de recommandations pour l'action à dirs échelons (synthèse ex-ante»).
Nombreuses sources de données (et difficulté à les rendre homogènes, par-fois surmontée par des recherches empiriques originales).


Indicateurs sount liés à la situation des artistes.

Organismes gournementaux ou publics (là où ils existent, les instituts spécialisés semi-publics et associations; chercheurs unirsitaires et mécénat d'entreprise (principalement aux USA et en AUS).
Question de la fiabilité des (sources de) données et de dirs critères, mais aussi de problèmes de la génération adéquate de nouaux objectifs de politique culturelle.
Inntaires de la vie culturelle, suggestions de buts politiques, catalogues de réformes pragmatiques à dirs niaux de pouvoir, encouragement des groupements d'intérêts et mobilisation d'un plus large public.
Le débat public à l'échelle nationale (ou régionale) sur les résultats et l'action des groupements d'intérêts peunt aboutir à des changements de politique.
b. l'existence de données partielles et parfois l'impossibilité de recueillir ad hoc de noulles informations: les différents rapports nationaux présentent à cet égard des variantes. Ils sont des sommes considérables d'informations mais répondent parfois insuffisamment aux questions centrales que pose l'évaluation (objectifs implicites et explicites, moyens mis en ouvre, écart entre le réalisé et le voulu, etc.) pour constituer l'étape d'auto-évaluation qui était attendue dans le schéma initial. En outre, on obser que, dans plusieurs pays, a manqué un acteur central qui aurait eu vérilement la capacité de conduire l'opération et de la mener dans les termes prévus par le programme (Autriche, Italie et sans doute aussi le projet d'évaluation esnol, qui n'a jamais abouti).
c. l'arrivée des pays de l'Est: leur demande d'évaluation coïncide ac la nécessaire et urgente réforme des structures. Les conséquences sont remarquables: plusieurs noulles démocraties ont été demandeuses et utilisatrices de l'évaluation dès leur adhésion à la Conntion culturelle européenne. Au reste, cette vision de la culture déloppée sous l'égide de l'organisation européenne inclut des aspects plus larges que les approches traditionnelles, ac le débat démocratique sur le rôle et la place de la culture dans la société, de l'identité nationale et de ses rapports ac les identités minoritaires d'un pays, de la responsabilité commune et solidaire d'un patrimoine commun.



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