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MANAGEMENT

Le management ou la gestion est au premier chef : l'ensemble des techniques d'organisation des ressources mises en ouvre dans le cadre de l'administration d'une entité, dont l'art de diriger des hommes, afin d'obtenir une performance satisfaisante. Dans un souci d'optimisation, le périmètre de référence s'est constamment élargi. La problématique du management s'efforce - dans un souci d'optimisation et d'harmonisation- d'intègrer l'impact de dimensions nouvelles sur les prises de décision de gestion.


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L'homme instruit

LE SAVOIR N'EST PAS, comme l'argent, quelque chose d'impersonnel. Il n'est pas enfermé dans un livre, dans une banque de données ou dans un logiciel. Tous ces objets contiennent seulement de l'information. Le sair, lui, est toujours incarné dans une personne, enseigné et appris par une personne, utilisé, bien ou mal, pat une personne. L'avènement de la société du sair place donc la personne au centre de tout. Et il crée de nouveaux défis, soulève de nouveaux problèmes, ignorés jusqu'A  présent, concernant cette ure maitresse de la société du sait, l'Homme instruit.
Dans les sociétés précédentes, la culture était un ornement - la Kultur dont parlent les Allemands avec un sentiment mASlé de révérence et de dérision. Mais dans la société du sair, l'Homme instruit est l'emblème, le symbole, le potte-dtapeau. Il est - pour parler en sociologue - l'archétype de cette société. C'est lui qui détermine sa capacité A  progresser. Mais aussi c'est lui qui en incarne les valeurs, les croyances, les engagements. Si, au Moyen A,ge, le chevalier était la société, si le bourgeois était la société sous le capitalisme, l'Homme instruit sera la société lorsque le sair y sera devenu la principale ressource.
Dans ces conditions, le fait mASme d'AStre instruit n'aura plus la mASme signification. L'éducation non plus. Sair ce qu'est exactement un Homme instniit deviendra, on peut le penser, un problème crucial. Le sair étant devenu la ressource principale, l'Homme instruit doit affronter de nouvelles exigences, de nouveaux défis, de nouvelles responsabilités. Car désormais c'est lui qui compte.
Depuis dix ou quinze ans, l'Université américaine connait un débat animé, parfois houleux, A  ce sujet. Le personnage de l'Homme instruit devrait-il exister ? Le peut-il ? Et en tout cas, qu'est-ce que l'- éducation - ?
Une équipe hétéroclite de marxistes prolongés, de féministes acharnées et autre - antis - soutient que l'Homme instruit n'existe pas. Ce sont les nouveaux nihilistes, les - déconstructionnistes -. D'autres, du mASme bord, pensent qu'il peut seulement exister des - hommes instruits - (au pluriel), du fait que chaque sexe, chaque groupe ethnique, chaque race, chaque minorité exige une culture séparée et donc un - homme instruit - différent - en fait, isolationniste. Comme la plupart sont des humanistes, on ne trouve pas encore parmi eux l'écho de la - physique aryenne - de Hitler, de la - génétique marxiste - de Staline ou de la - psychologie communiste - du président Mao. Mais les arguments de ces anti-traditionalistes rappellent ceux du totalitarisme. Leur cible est la mASme: l'universalisme, et son concept clé, qu'on l'appelle Homme instruit comme en Occident ou bunjin en Chine ou au Japon.
Le camp opposé ' que l'on pourrait appeler celui des vériles humanistes ' rejette aussi le système éducatif actuel, mais parce qu'A  leur avis celui-ci ne sait plus produire un Homme instruit universel. Ils demandent qu'on revienne A  l'éducation classique du 19e siècle, aux - arts libéraux -, au Gebildete Mensch allemand. Ils ne nt pas jusqu'A  reprendre la thèse lancée ici cinquante ans A  l'université de Chicago par Robert Hutchins et Mortimer Adler, selon laquelle le sair tient en quelques - grands livres -. Mais ce sont les héritiers directs du - retour A  la prémodernité - de Hutchins et Adler.
Les uns comme les autres, hélas, ont tort.

Au cour de la société du sair
Au cour de la société du sair, il y a bien le concept d'Homme instruit. Ce concept devra AStre universel, précisément parce que la société du sair est une société de sairs, qu'elle recouvre tout - l'argent, l'économie, les carrières, les techniques, les problématiques, et d'abord l'information - et qu'elle a besoin par conséquent d'une force unificatrice. Elle a besoin d'un groupe leader capable de fédérer les traditions locales, particulières, distinctes, dans un engagement pour des valeurs communes, dans un concept commun d'excellence et dans le respect de tous pour chacun.
Ainsi, la société postcapitaliste, la société du sair, demande exactement le contraire de ce que proposent les déconstructionnistes, les féministes radicaux et les anti-occidentaux. Elle exige cette chose mASme qu'ils rejettent totalement : l'Homme instruit universel.
Mais l'Homme instruit dont a besoin la société du sair diffère aussi profondément de l'idéal pour lequel combattent les humanistes. Ceux-ci dénoncent A  juste titre la folie de leurs adversaires, de ceux qui udraient répudier la grande tradition de sagesse, de beauté, de sair qui constitue l'héritage de l'humanité. Mais jeter un pont vers le passé ne suffit pas, et les humanistes ne proposent rien de plus. L'Homme instruit doit AStre en mesure, par son sair, de peser sur le présent, ire de modeler l'avenir. Rien, dans les thèses humanistes, ne l'y prépare. En réalité, tout souci de l'avenir en est absent. Or sans cette préoccupation, la grande tradition n'est plus qu'une poussiéreuse boutique d'antiquaire.
Dans son roman Le Jeu des perles de verre (1943) Hermann Hesse a décrit par anticipation le monde que souhaitent les humanistes - et son échec. On y it une confrérie d'intellectuels, d'artistes et d'humanistes qui vivent dans un splendide isolement et se consacrent A  l'antique tradition de beauté et de sagesse. Mais le héros du livre, le maitre accompli du petit groupe, décide A  la fin de revenir A  la réalité polluée, grossière, vulgaire, agitée, déchirée, avide - parce que ses valeurs ne sont que de la fausse monnaie si elles ne trouvent pas un écho dans le monde réel.
Ce que Hesse avait prévu il y a plus de cinquante ans est en train de se réaliser. L'éducation libérale, l'Allgemeine Bildung sont en crise parce qu'elles sont devenues un - jeu des perles de verre - que les élèves les plus brillants abandonnent pour la réalité grossière, vulgaire et avide. Les bons esprits apprécient toujours les humanités, autant que leurs aïeux qui passaient leurs diplômes avant la Grande Guerre. Pour les générations passées, l'éducation libérale, VAllgemeine Bildung qu'ils avaient reA§ue, gardait son sens la vie entière. Elle était constitutive de leur identité. Elle avait encore du sens pour beaucoup de membres de cette génération, la mienne, qui fréquentait l'université avant la Seconde Guerre mondiale - mASme s'ils eurent vite oublié le latin et le grec qu'ils avaient appris. Mais l'étudiant d'aujourd'hui, quelques années après ses examens, pense ceci : - Ce que je me suis donné tant de mal pour apprendre n'a aucun sens; cela n'a aucun rapport avec ce que je fais, avec ce qui m'intéresse, avec ce que je veux devenir. - Ils continuent de uloir que leurs enfants fréquentent les bons élissements, Princeton ou Carleton, Oxbridge, l'université de Tokyo, le lycée ou le Gymnasium - surtout pour des raisons de statut social et de perspectives d'avenir. Mais pour mener leur propre vie, ils répudient l'éducation libérale et i'Allgemeine Bildung. Ils répudient le modèle humaniste de l'Homme instruit. Parce que l'éducation libérale ne leur permet pas de comprendre la réalité, et encore moins de la maitriser.
Dans ce débat, les deux adversaires sont A  côté de la plaque. La société postcapitaliste, plus qu'aucune autre, a besoin de l'Homme instruit. Il lui est indispensable d'air accès aux grands legs du passé. En fait, ce legs du passe comporte bien plus de choses que n'en veulent conserver les humanistes. Pour eux, il s'agit principalement de la - civilisation occidentale -, de la - tradition judéo-chrétienne -. Bref, de la culture du 19e siècle. L'Homme instruit qu'il nous faut maintenant devra pouir apprécier d'autres grandes cultures ou traditions : la peinture et la céramique chinoise, japonaise, coréenne; les philosophes et les grandes religions de l'Orient; et l'Islam, en tant que religion et que culture. Son éducation devra en outre se fonder beaucoup moins que celle des humanistes sur les livres. Il devra AStre formé autant A  l'observation qu'A  l'analyse.
La tradition occidentale continuera de urer au cour de la formation de l'Homme instruit, ne serait-ce que pour qu'il puisse air prise sur le présent, et aussi sur l'avenir. L'avenir sera peut-AStre - postoccidental -, peut-AStre - anti-occidental -, il ne pourra pas AStre - non occidental -. La civilisation matérielle et ses sairs - la science, les machines et les techniques, la production, l'économie, la monnaie, la finance et la banque - reposent sur des fondations occidentales. Rien de tout cela ne peut fonctionner si l'on ne comprend pas et si l'on n'accepte pas les idées et la tradition de l'Occident.
Aujourd'hui, le mouvement le plus profondément anti-occidental n'est pas l'Islam fondamentaliste. C'est l'insurrection du Sentier lumineux au Pérou - tentative désespérée des descendants des Incas d'annuler la conquASte esnole, de ressusciter les langages quechua et aymara des anciens Indiens et de rejeter les Européens et leur culture maudite A  la mer. Or le Sentier lumineux se finance en cultivant la coca pour les drogués de New York et de Los Angeles. Son arme farite n'est pas la fronde des Incas. C'est la iture piégée.
L'Homme instruit de demain devra s'attendre A  vivre dans un monde globalisé, qui sera un monde occidentalisé. Mais aussi le monde où il vivra sera de plus en plus tribalisé. L'Homme instruit devra AStre Un - citoyen du monde - - dans sa vision, avec son horizon et son information. Mais il devra aussi s'abreuver A  ses sources locales et, en échange, nourrir et enrichir sa propre culture locale.


Société du sair et société des organisations

La société postcapitaliste est A  la fois une société du sair et une société des organisations, chacune dépendant de l'autre et cependant différente d'elle par ses concepts, ses perspectives, ses valeurs. Les Hommes instruits, on l'a vu, exerceront en quasi-totalité leur sair au sein d'une organisation. L'Homme instruit devra par conséquent AStre prASt A  vivre et A  travailler en recourant simultanément A  deux cultures, celle de l'intellectuel, centrée sur le langage et les idées, et celle du manager, centrée sur les hommes et le travail.
Les intellectuels ont besoin de l'organisation comme d'un outil ; elle leur permet d'exercer leur technAS, leur sair spécialisé. Les managers considèrent le sair comme le moyen d'améliorer les performances de l'organisation. Ils ont raison tous les deux. Leurs points de vue s'opposent, mais ils s'opposent comme deux pôles indissociables, non contradictoires. Chacun a besoin de l'autre. Le chercheur scientifique a besoin de l'organisateur, et réciproquement. Si l'un l'emporte sur l'autre, on ne peut qu'aboutir A  l'impuissance et A  une frustration génétale. L'intellectuel, s'il n'est pas complété par le manager, crée un monde où chacun fait ce qu'il veut mais où personne ne fait rien. Le monde du manager, s'il n'est pas complété par l'intellectuel, devient une bureaucratie, la grisaille abnitissante où règne l'- homme de l'organisation -. Mais s'ils trouvent leur équilibre, alors peuvent naitre la créativité et l'ordre, le sens de la mission et de l'accomplissement.
Un certain nombre de membres de la société postcapitaliste vivront et travailleront en pratiquant effectivement et simultanément les deux cultures. Un plus grand nombre encore pourraient - et devraient - air l'occasion, dans leur travail, d'entrer en contact avec les deux cultures, par exemple en changeant d'emploi au début de leut carrière, en passant d'un poste de technicien A  un poste de manager:
le jeune ingénieur informaticien, par exemple, viendrait diriger un projet ou animer une équipe, le jeune professeur viendrait travailler deux ans A  temps partiel dans les services administratifs de l'université. En assumant en outre une tache bénéle dans le secteur social, le jeune travailleur, dans la mASme perspective d'équilibre, trouvera l'occasion de découvrir, de connaitre et de respecter les deux mondes, celui de l'intellectuel et celui du manager.
Dans la société postcapitaliste, tous les hommes instruits devront faire l'effort de comprendre les deux cultures.


Les technAS et l'Homme instruit

Aux yeux de l'Homme instruit du 19e siècle, les technAS ne constituaient pas un sair. Certes, on les enseignait A  l'université. Elles étaient devenues des - disciplines -. Leurs adeptes n'étaient ni des marchands ni des artisans, mais des - membres d'une profession -. Mais leurs connaissances ne relevaient pas de l'éducation libérale ou de l'Allgemeine Bildung, elles ne relevaient donc pas du sair.
Il y a longtemps que l'université sanctionne les technAS par ses diplômes: depuis le 13e siècle en Europe pour le droit et la médecine. En Amérique, en Europe continentale - pas en Angleterre - les diplômes d'ingénieurs, créés par la France napoléonienne juste avant 1800, ont été reconnus très tôt par la société. La plupart des gens considérés comme - instruits - gagnaient leur vie en pratiquant une technAS, que ce soit comme juristes, médecins, ingénieurs, géologues, et, de plus en plus, comme hommes d'affaires (en fait, seuls les anglais conservaient leur estime au gentleman oisif). Mais ces emplois, ces professions n'étaient pour chacun d'eux qu'un moyen de gagner sa vie ; ils n'étaient pas - leur vie -.
Sortis de leurs bureaux, les spécialistes des technAS ne s'entretenaient jamais de leur travail, ni mASme de leur discipline. Parler - boutique - était méprisable ; les Allemands ricanaient A  propos du Fachsimpeln, les FranA§ais étaient plus critiques encore. Quiconque s'y laissait aller était considéré comme un rustre et un casse-pieds. La bonne société le rayait bien vite de ses listes d'invitation.
Mais maintenant que les technAS sont devenus des sairs, elles doivent AStre intégrées au sair. Elles doivent AStre portées A  l'actif de l'Homme instruit. C'est parce que l'éducation libérale qu'ils ont reA§ue avec plaisir au lycée et A  l'université ne satisfait pas ce besoin, qu'elle n'en est pas capable, qu'elle refuse mASme d'essayer, que les étudiants la répudient aujourd'hui au bout de peu d'années. Ils se sentent abandonnés, trahis, et A  juste titre. Une éducation libérale, une Allgemeine Bildung qui n'intègre pas les sairs dans l'univers du sair n'est ni libérale, ni une Bildung. Elle faillit A  son premier deir, qui est d'instaurer entre les hommes la compréhension mutuelle, le - discours universel - sans lequel aucune civilisation ne peut exister. Au lieu d'unir, ce genre d'éducation divise.
L'appareil mathématique qui se déploie dans de nombreux sairs n'est pas ce dont nous ans besoin. Inutile de l'acquérir, nous serons sans doute trop spécialisés pour cela. Ce qu'il nous faut, ce qui définira l'Homme insttuit dans la société du sair, c'est la capacité de comprendre les sairs. De quoi s'agit-il ? Ce sair particulier, A  quoi vise-t-il ? Quel est son objet essentiel ? Sur quelles théories repose-t-il ? Quelles découvertes y a-t-on faites ? Quelles sont ses zones obscures, ses problèmes, ses défis ?

Faire des sairs le chemin du sair
Si ces questions restent sans réponse, les sairs deviendront stériles ' ils cesseront, en vérité, d'AStre des sairs. Ils se réduiront A  une arrogance intellectuelle improductive. Car dans chacun des sairs spécialisés, les grandes découvertes proviennent d'une autre spécialité, différente, d'un autre sair.
L'économie et la météorologie sont bouleversées actuellement pat les nouvelles mathématiques de la théorie du chaos. La géologie est modifiée en profondeur par la physique de la matière, l'archéologie par l'identification génétique de l'ADN, l'histoire par les analyses et les moyens de la psychologie, de la statistique et de la technologie. L'Américain James Buchanan (né en 1919) a reA§u en 1986 le prix Nobel d'économie pour air appliqué aux faits politiques les acquis récents de la théorie économique, et air renversé du mASme coup les postulats et les théories sur lesquels les politologues fondaient leurs travaux depuis plus d'un siècle.
Les détenteurs de ces sairs, les spécialistes, doivent prendre la responsabilité de se faire comprendre, eux et le domaine qu'ils connaissent. Les médias ' magazines, cinéma, télévision ' ont lA  un rôle essentiel A  jouer, mais ils ne peuvent pas tout faire. Pas plus qu'aucune autre méthode de vulgarisation. Les sairs doivent AStre assimilés comme ils sont en réalité : sérieux, rigoureux, exigeants. Cela suppose que, dans chaque spécialité, les leaders ' A  commencer par les professeurs les plus éminents - se considèrent comme responsables de la diffusion de leur propre sair et acceptent les servitudes que cela implique.
Dans la société du sair, il n'existe pas de - sair-roi -. Tous les sairs sont également estimables, tous, comme disait saint Bonaven-ture, le grand philosophe médiéval, conduisent également A  la vétité. Mais les détenteurs de ces sairs ont la responsabilité de montter le chemin, d'en faire des ies d'accès au sair. Collectivement, ils tiennent le sair en tutelle.
Le capitalisme régnait depuis plus d'un siècle lorsque Karl Marx, dans Le Capital (premier lume publié en 1867), l'identifia comme une structure sociale bien définie. Le terme mASme de - capitalisme - ne fut lancé que trente ans plus tard, bien après la mort de Marx. Ce ne serait donc pas seulement extrASmement ptésomptueux d'essayer d'écrire aujourd'hui Le Sair; ce serait en outte risiblement prématuré. Tout ce qu'on peut essayer ' tout ce qu'essaie le présent ouvrage - c'est de déetire l'état de la société et des structures politiques alors qu'elles commencent tout juste d'émerger de l'ère du capitalisme (qui fut aussi, bien sûr, l'ère du socialisme). Mais on peut espérer que, dans une centaine d'années, on pourra s'attaquer A  un tel ouvrage, et mASme qu'un livre intitulé Sair (tout court) sera écrit. Cela signifierait que nous autions alors franchi avec succès la transition dans laquelle nous sommes embarqués. Ce serait folie de décrire aujourd'hui par avance la société du sair, comme c'eut été folie en 1776 ' l'année de la Rélution américaine, de l'ou' vrage d'Adam Smith sur la Richesse des nations et de la machine A  vapeur de James Watt - de prédire la société que Marx allait décrire cent ans plus tard, et comme ce fut folie de sa part, A  l'époque du capitalisme victorien, de prédire - avec une infaillibilité scientifique - la société dans laquelle nous vins aujourd'hui.
Mais on peut cependant annoncer une chose: le changement le plus important A  attendre, c'est celui qui portera sur le sair, ses formes, son contenu, sa signification, sa responsabilité - et sur ce que cela signifie d'AStre un Homme instruit.



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