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ECONOMIE

L’économie, ou l’activité économique (du grec ancien οἰκονομία / oikonomía : « administration d'un foyer », créé à partir de οἶκος / oîkos : « maison », dans le sens de patrimoine et νόμος / nómos : « loi, coutume ») est l'activité humaine qui consiste en la production, la distribution, l'échange et la consommation de biens et de services. L'économie au sens moderne du terme commence à s'imposer à partir des mercantilistes et développe à partir d'Adam Smith un important corpus analytique qui est généralement scindé en deux grandes branches : la microéconomie ou étude des comportements individuels et la macroéconomie qui émerge dans l'entre-deux-guerres. De nos jours l'économie applique ce corpus à l'analyse et à la gestion de nombreuses organisations humaines (puissance publique, entreprises privées, coopératives etc.) et de certains domaines : international, finance, développement des pays, environnement, marché du travail, culture, agriculture, etc.


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Orientations récentes et problèmes actuels

On a déjA  signalé que les trente dernières années ont vu se succéder des périodes fort contrastées. Pendant la décennie 60, l'Europe a connu un plein succès en ce qui concerne les deux objectifs de prix et d'emploi.
C'est vers la fin de la décennie que la dégradation s'amorce, et sur les deux fronts. S'enclenche alors un processus inflationniste, dans tous les pays, mais avec des intensités fort différentes d'un pays A  l'autre, et de nombreuses modifications de parités des changes. Le fonctionnement du marché commun ne redeent possible que grace A  la mise en place du Système monétaire européen (sme), dont l'objectif essentiel est certes la silité du change intra-communautaire, mais qui, de ce fait, incite A  rechercher une suffisante convergence des taux d'inflation. Par contre, le problème du chômage demeure aigu.

A / UN CONSENSUS CROISSANT EN FAVEUR DE LA STABILITé DES PRIX

Plus de quinze ans d'inflation marquée ont profondément sensibilisé les responsables économiques aux méfaits de l'inflation et les ont conduit A  accepter les vues des théoriciens sur l'immense avantage d'une silité des prix pour une bonne gestion économique décentralisée. Un consensus se dégage entre les entreprises et les gouvernements sur l'utilité d'une lutte goureuse en faveur de la silité des prix. Comme on le verra plus loin, la volonté de faire fonctionner correctement le sme renforce cette attitude.
L'objectif de silité des prix est ainsi devenu prioritaire pour l'ensemble des pays européens ; mASme si les résultats sont encore inégaux, la convergence se renforce.
Quant aux instruments utilisés, on peut noter, A  côté de l'abandon complet et délibéré du recours A  des actions autoritaires de contrôle des prix :
' un effort de ralentissement de la progression du poids des prélèvements obligatoires et de réduction, lA  où ils étaient importants, des déficits budgétaires. Dans son rapport économique annuel 1989-l990, la Commission parle de l'acceptation croissante de quelques règles de conduite, A  savoir :
» contenir la progression de la dette publique, en vue notamment de réduire la pression financière exercée par les administrations publiques (et donc l'effet d'éction des emprunteurs privés sur le marché des capitaux),
» siliser, puis réduire la part des finances publiques dans l'actité économique,
» aménager la structure des dépenses et des recettes publiques, en vue de renforcer la productité de l'économie et la croissance ;
' l'émergence d'un certain consensus de fait sur une modification du partage de la valeur ajoutée entre consommation et investissement, permettant donc une augmentation de ce dernier sans gonfler la demande finale ;
' un recours très délibéré A  la politique monétaire, mASme si celle-ci est de moins en moins facile techniquement A  mettre en œuvre. On peut penser que c'est grace A  la coexistence de ces trois actions qu'on est parvenu A  un succès dans la lutte contre l'inflation.
La poursuite d'une telle conjonction favorable est loin d'AStre automatique. En effet, la lutte contre l'inflation exerce un impact non négligeable sur la répartition des revenus : si les bénéficiaires de revenus peu ou pas indexés (en droit ou en fait) sur le niveau des prix en profitent, il n'en va pas de mASme pour ceux qui peuvent espérer agir sur le niveau nominal de leurs revenus (par un relèvement de prix ou de salaires) : la silité durable des prix suppose en fait un minimum d'accord social sur le partage du revenu national. Les politiques économiques stricto sensu (notamment monétaire) peuvent puissamment favoriser cette silité, mais ne peuvent AStre vraiment efficaces durablement que si l'équilibre économico-social auquel elles conduisent est accepté. Si la politique monétaire de la Bundesbank a été aussi efficace en rfa pendant des années, c'est parce qu'il y avait une profonde allergie A  l'inflation de la population qui a accepté alors les conséquences de la lutte contre celle-ci. Au vu de l'expérience, tant de la rfa que des autres pays au cours des dernières années, on peut alors penser que la silité (au moins approximative) des prix ne sera durablement maintenue que si un vaste ensemble de mesures concernant la répartition des revenus sont prises pour rendre l'évolution de celle-ci globalement acceptée ; parmi ces mesures, celles d'ordre fiscal et budgétaire sont édemment importantes, de ce fait, la complémentarité des politiques monétaires et budgétaires touche des aspects plus variés que ce qu'évoque souvent une analyse macro-économique trop simple.

B / LA PERSISTANCE DU CHA”MAGE

La lutte contre le chômage, par contre, donne A  l'observateur extérieur une impression étrange. Certes, il est très généralement reconnu que le chômage durable et massif, frappant tout particulièrement les jeunes et les femmes, est un drame social, non seulement par l'absence de revenu qu'il entraine, mais plus largement parce que, privé de travail, l'indidu a du mal A  s'insérer complètement dans la société. Mais en mASme temps, les gouvernements n'osent plus annoncer comme prioritaire pour eux l'objectif d'un rapprochement du plein emploi ; tout se présente comme si, découragés par leurs échecs sur ce terrain depuis quinze ans, ils baissaient les bras.

1. Visions actuelles sur le chômage
Il serait certes excessif de dire que rien n'est tenté, mais on ne recourt qu'A  une partie de la palette des actions possibles :
' d'une part, on recourt largement A  des actions ponctuelles, qu'on a parfois baptisé, de faA§on critique, traitement social du chômage ;
apparemment des emplois sont ainsi directement créés ' ou non supprimés ', il n'est pas édent que ce ne soit pas en fait au détriment d'emplois autre part et que le solde net soit positif ; de toute faA§on, s'il l'est, il demeure très modique et pas A  la hauteur du problème ;
d'autre part, et inégalement, se met en œuvre une - politique d'offre - sant A  rendre l'économie plus flexible ' et donc plus rapidement adaple ; mais son effet ne peut AStre immédiat. De plus, dans la mesure où elles peuvent conduire A  une certaine réduction des salaires réels, elles ne sont pas acceptées facilement par les détenteurs d'un poste de travail ; le raisonnement selon lequel l'existence d'un chômage pousse les demandeurs d'emplois A  accepter un salaire plus
faible, l'expérience semble bien montrer que, dans les négociations sur les
salaires, les syndicats sont beaucoup plus intéressés par le sort des


détenteurs d'emplois que par celui des chômeurs ;

par contre, les politiques de relance de style keynésien ne sont plus guère pratiquées. A cela deux raisons :
» dans l'imputation du chômage A  ses diverses origines, les analyses convergent pour estimer que la part relative du chômage keynésien n'est plus dominante : les pays européens n'ont plus de substantielles réserves de capacités de production, plus exactement de capacités suffisamment modernes pour permettre de produire dans des conditions compétitives. La réponse ne peut passer alors que par un relèvement du taux d'investissement, et une répartition adaptée de celui-ci entre les investissements de capacité (créateurs d'emplois) et les investissements de productité (destructeurs d'emplois) ; on a vu que ce partage est influencé par le rapport du coût salarial au taux d'intérASt, mais surtout par le degré de confiance dans l'évolution future,
» une stimulation d'origine interne de l'actité économique entraine généralement A  court terme une dégradation du solde commercial extérieur (hausse des importations, non hausse, voire mASme baisse, des exportations), et ent alors butter sur la contrainte de l'équilibre extérieur. Les pays européens ayant augmenté leur ouverture extérieure, cette contrainte s'est a priori renforcée, si bien que la mise en oeuvre de politiques de stimulation n'est possible dans un pays que si ses partenaires commerciaux en font autant (cf. chap. 9).
Plus précisément, le diagnostic sur l'origine du chômage a tendance A  se faire moins global et plus différencié, ce qui conduit A  prilégier des actions agissant sur les structures.
L'idée d'ensemble est que nous sommes moins en face d'un déséquilibre global (classique ou keynesien) que d'une inadaptation croissante de la population active (niveaux de qualification et de rémunérations) aux caractéristiques des techniques utilisées et A  la nature de la demande, tant intérieure qu'extérieure.

2. Les adaptations structurelles
De nombreuses analyses concrètes sur l'organisation de la production et l'évolution de la demande ont fait état de ce qu'on a appelé l'- abandon du fordisme -, sous l'influence de l'apparition d'une demande plus diversifiée (on a parlé de la - demande de différence -) rendant en partie obsolète le processus de la production A  la chaine dans l'industrie et conduisant A  l'adoption d'- ateliers flexibles -. Dans le mASme temps, l'amplification de l'effort mondial de recherche depuis plus de trente ans enrichit les possibilités de modifications des techniques et accélère donc le rythme de remplacement des équipements. Enfin, l'ouverture sur l'extérieur et l'intensification de la concurrence A  l'échelon mondial obligent A  des spécialisations plus poussées, mais en mASme temps plus évolutives. L'emploi global ne peut donc AStre maintenu que par une adaptation croissante des techniques, des équipements, donc des qualifications de la main-d'œuvre et des changements dans le nombre et la nature des différents postes de travail. Ceci entraine diverses conséquences, tant pour la main-d'œuvre que pour l'équipement.
Pour la main-d'œuvre, la rapidité croissante de l'évolution technique exige une évolution non moins rapide de la qualification de la population active, qui ne peut AStre procurée que par une intensification de l'effort de formation et une modification profonde des formes de celle-ci, tant pour la formation initiale (qui doit mieux préparer les indidus A  évoluer) que pour la formation - permanente -. Il s'agit ensuite de stimuler les ajustements.
L'idée que la rigidité des salaires constitue un obstacle au plein emploi, idée qui a tellement partagé les théoriciens dans son expression globale, est en fait particulièrement valable pour les niveaux relatifs des rémunérations : face A  des changements profonds de la nature des qualifications requises et de l'ampleur quantitative de la demande pour les diverses qualifications, une certaine inertie dans les échelles de salaires empASche les ajustements permettant la résorption des qualifications en excès. Ceci joue pour de nombreuses qualifications devenues moins intéressantes ou moins demandées, et est vrai tout particulièrement pour les indidus A  faible qualification ou A  efficacité immédiate escomptée faible, du fait de leur manque d'expérience (nombreux jeunes A  la recherche du premier emploi), tant que le salaire minimum est fixé A  un niveau jugé excessif par les entreprises.
Il faut enfin faire accepter psychologiquement et socialement les ajustements, et le plus rapidement possible. Pour cela, il faut recourir A  des mécanismes de formation et de prise en charge financière par la collectité d'une partie du coût, pour l'indidu et sa famille, de sa réadaptation et de sa réinsertion dans un nouveau métier, éventuellement sur un nouveau lieu de travail.
Formation pour préparer au changement, stimulation au changement, concours financier pour atténuer le coût social du changement, telles paraissent AStre trois pistes fondamentales. Si ce qu'on appelle le - traitement social du chômage - couvre certaines de ces actions, c'est de faA§on partielle et sans stratégie d'ensemble.
La réponse au chômage par une action sur l'autre facteur de production n'est pas moins importante. Plus l'évolution des techniques et de la demande est rapide, plus les équipements se périment te et donc plus l'effort d'investissement est nécessaire. Or, alors que dans la décennie 60, la croissance annuelle de la formation brute de capital fixe était forte (5,6 %), toute la période 1974-l982 a connu une décroissance. Ce n'est que depuis 1984 que la progression reprend, et A  un rythme croissant, notamment pour l'équipement.
Il faut d'autre part que l'orientation de l'investissement soit favorable A  l'emploi, par un équilibre judicieux entre les investissements de productité destructeurs d'emplois et les investissements de capacité créateurs d'emplois.
Au cours des deux décennies 60 et 70, l'affectation de l'investissement était peu favorable A  l'emploi, si bien que l'emploi global n'augmentait que faiblement, 2 % par décennie. Mais dans les années 60, cette substitution du capital au travail était bénéfique, parce que la population en age d'actité et se voulant active n'augmentait que faiblement : la croissance économique n'était alors possible que grace A  une forte augmentation de la productité du travail rendue possible par le recours A  des techniques plus capitalistiques. Au contraire, dans la décennie 70, la population active a augmenté plus rapidement (effet démographique et augmentation du taux d'actité féminin) ; il aurait alors fallu que la substitution de capital au travail soit plus faible, ce qui ne fut que partiellement le cas, notamment du fait de la faiblesse des taux d'intérASt réel et de la hausse des salaires comme conséquence des politiques menées après le choc pétrolier. On est mASme allé alors jusqu'A  observer dans la CEE une réduction de l'emploi (de 2,8 % en trois ans, 1981-l983). Depuis 1985, le dynamisme retrouvé et une meilleure affectation de l'investissement ont permis de créer 3 millions d'emplois entre 1985 et 1987, avec une croissance de 2,5 %, et 5 millions d'emplois devraient AStre créés entre 1988 et 1990, avec une croissance annuelle de 3,5 % .
L'accent qui ent d'AStre mis très fortement sur les politiques d'adaptation des structures ne doit édemment pas masquer l'utilité de deux autres actions, étroitement liées : un soutien de la demande globale peut AStre nécessaire, la création d'un climat favorable A  des anticipations optimistes de la part des entrepreneurs est indispensable. Dans des économies largement ouvertes sur l'extérieur, la première action ne peut guère AStre menée sans coordination avec ce que font les partenaires ; dans le mASme temps, la création communautaire ouvre des perspectives intéressantes de dynamisation de l'économie, on y reendra plus loin.


3. L'action par la modulation de la durée du travail

La diminution de la durée du travail H est un phénomène observé depuis plus d'un siècle, avec périodiquement des reconnaissances officielles de caractère juridique (la semaine de quarante-huit heures, la semaine de quarante heures) : elle reflète l'aspiration A  un partage des résultats de la hausse de productité horaire entre plus de consommation et plus de loisirs (ou moins de travail salarié). Il parait bien que le mouvement n'est pas terminé, sans qu'on puisse d'ailleurs discerner l'asymptote. La question qui se pose actuellement est alors la suivante : faut-il A  nouveau légaliser une nouvelle baisse, et si oui, de combien ?


La question revASt en fait deux aspects :

' un aspect psychologique : comment se situe la préférence des travailleurs entre des horaires plus courts ou une croissance du revenu réel ? A en croire certains syndicats, le premier terme prédominerait ; au vu d'enquAStes auprès des intéressés eux-mASmes, la réponse est beaucoup moins nette, et une certaine aspiration A  des formules très souples, laissant A  chacun une grande liberté de choix, se dégage souvent des réponses ;
' un aspect économique. La réduction de H parait constituer un moyen de relever N. Sous sa forme extrASme, le raisonnement postule qu'il y a un plafond au nombre total d'heures ouvrables dans l'économie et conclut que, si on veut que plus de personnes aient un emploi, chacune doit travailler moins longtemps. Ce raisonnement se heurte A  trois objections : d'une part, il ne parait pas exact qu'il n'y ait plus d'aspiration A  une forte croissance des revenus réels, d'autre part, l'augmentation du nombre d'emplois requiert une augmentation du nombre de postes de travail physique (donc de l'investissement), enfin si chacun est utilisé moins longtemps, il y aura un relèvement du coût de production et donc, globalement, une baisse du salaire réel.
On est conduit alors A  nuancer la proposition et A  rechercher comment conjuguer A  la fois une certaine baisse de la durée hebdomadaire du travail et une augmentation de la durée hebdomadaire d'utilisation des équipements, par une réorganisation profonde des horaires d'actité dans l'entreprise (par exemple quatre jours A  9 heures par indidu, et six jours pour l'usine). De nombreuses formules sont ainsi A  explorer et il est important alors que rien ne soit é trop tôt par des textes réglementaires qui s'imposeraient A  tous.

4. L'action sur le niveau du salaire
Elément de coût et source de revenu : face A  cette dualité du rôle du salaire, pouvant AStre A  la source de déséquilibres (et de sous-emploi), l'idée a été avancée d'un découplage de ces deux rôles, de faA§on A  retrouver une certaine souplesse, et de favoriser une certaine adapilité du niveau des salaires A  l'évolution de la situation conjoncturelle.
Les pistes ainsi explorables sont nombreuses. On peut en mentionner trois :
' l'une consiste A  ventiler la rémunération du salarié en deux éléments, l'un (le salaire) étant déterminé comme maintenant par des négociations collectives et étant donc assuré de silité, l'autre (la participation au profit) dépendant des résultats de l'entreprise et étant donc modulée A  la fois sur la conjoncture globale et sur l'efficacité propre de l'entreprise (que le salarié a donc intérASt A  favoriser) : c'est, en France, l'idée, pour des motivations sociales, de la participation aux bénéfices, c'est, aux Etats-Unis, les propositions d'affectation d'une partie du profit A  la rémunération du personnel de l'entreprise10 ;
' une seconde consiste A  élir A  des niveaux différents (pour la mASme qualification) la rémunération des travailleurs suivant qu'ils sont déjA  dans l'entreprise ou qu'il s'agit de nouveaux embauchés : ainsi, l'Etat pourra prendre en charge, pendant quelque temps, une partie des charges sociales ;
' on peut aussi ensager d'asseoir les cotisations sociales, non plus sur les seuls salaires, mais également sur les autres éléments de la valeur ajoutée.
Intellectuellement séduisantes, parce que multipliant le nombre des variables, ces idées soulèvent de sérieuses objections pratiques : d'une part, il reste A  faire accepter par les salariés l'idée d'une modulation, et donc d'une imprésibilité, de leur revenu réel, d'autre part avoir deux prix pour la mASme fourniture (un travail d'une certaine qualification) est en contradiction avec les règles de gestion sant l'efficacité de l'économie. Un compromis peut donc AStre A  trouver entre les divers objectifs sés.




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