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MANAGEMENT

Le management ou la gestion est au premier chef : l'ensemble des techniques d'organisation des ressources mises en œuvre dans le cadre de l'administration d'une entité, dont l'art de diriger des hommes, afin d'obtenir une performance satisfaisante. Dans un souci d'optimisation, le périmètre de référence s'est constamment élargi. La problématique du management s'efforce - dans un souci d'optimisation et d'harmonisation- d'intègrer l'impact de dimensions nouvelles sur les prises de décision de gestion.


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Appendice sur le coût d'usage

Le coût d'usage présente, A  notre avis, pour la théorie classique de la valeur une importance qui a été sount méconnue. H y a plus A  dire sur ce sujet qu'il n'est A propos ou utile de le faire ici. Mais, A  titre de digression, nous allons l'examiner plus longuement dans le présent Appendice.
Le coût d'usage d'un entrepreneur est par définition égal A 
A1 + (G' ' B') ' G,
où Al représente le montant des achats faits par notre entrepreneur aux autres entrepreneurs, G la valeur effecti de son équipement en capital A  la fin de la période, et G' la valeur que cet équipement aurait pu avoir A  la fin de la période s'il s'était abstenu de l'utiliser et avait dépensé la somme optimum B ' pour son entretien et son amélioration. Or G ' (G' ' B'), c'est-A -dire l'excédent de la valeur de son équipement sur la valeur nette héritée de la période antérieure, représente l'instissement courant qu'il a effectué dans son équipement, instissement qui peut AStre uré par I. Ainsi U, le coût d'usage de son chiffre d'affaires A, est donc égal A  A1 ' I, où A, représente ce qu'il a acheté A  d'autres entrepreneurs et I ce qu'il a insti pendant la période dans son propre équipement Un instant de réflexion montrera que tout ceci ne dépasse pas le simple bon sens. Une partie des achats aux autres entrepreneurs est balancée par la valeur de l'instissement courant qu'il a réalisé dans son propre équipement, et le surplus représente le sacrifice que lui a coûté la production des richesses ndues, en sus de la somme totale qu'il a payée aux facteurs de production*. Si le lecteur essaye d'exprimer l'essentiel de ces idées sous d'autres formes, il constatera que celle-ci offre l'avantage d'ésectiuner des problèmes comples insolubles (et inutiles). Il n'existe, A  notre avis, aucun autre moyen d'analyser sans ambiguïté les résultats courants de la production. Si l'industrie est complètement intégrée ou si l'entrepreneur n'a rien acheté au dehors, de telle sorte que A1 = O, le coût d'usage est simplement l'équivalent du désinstissement courant qu'entraine l'utilisation de l'équipement, mais il nous reste l'avantage de n'avoir A  aucun moment de notre analyse A  répartir le coût de facteur* entre les biens que l'on nd et l'équipement que l'on garde. Nous pouvons ainsi considérer le volume de l'emploi fourni par une entreprise, intégrée ou individuelle comme le résultat d'une seule décision d'ensemble ; cette méthode correspond A  l'imbrication de fait dans la production totale de la production ndue au cours de la période.
La notion de coût d'usage nous permet en outre de substituer A  la définition habituelle une définition plus claire du prix d'offre de courte période d'une unité de la production ndable d'une entreprise. Le prix d'offre de courte période est en effet la somme du coût de facteur marginal et du coût d'usage marginal.
Or, cela a été une pratique usuelle dans la théorie moderne de la valeur d'égaler le prix d'offre de courte période au coût de facteur seul. Cependant de toute évidence une telle pratique n'est légitime que si le coût d'usage marginal est nul, ou si l'on adopte une définition spéciale du prix d'offre, excluant le coût d'usage marginal, comme nous l'avons fait nous-mASme (p. 52 ci-dessus) en définissant le - produit - et le - prix de l'offre globale -, quantités qui ne comprennent pas le coût d'usage global. Mais, alors qu 'il peut AStre parfois commode lorsqu'on étudie la production dans son ensemble de déduire le coût d'usage, une telle méthode enlè A  l'analyse toute correspondance ac la réalité, si d'une faA§on habituelle (et implicite) on l'applique A  la production d'une seule entreprise ou d'une seule industrie, car elle crée une différence entre le - prix d'offre - d'un article et son - prix -, au sens habituel du mot ; et une certaine confusion a pu naitre de cette pratique. Le sens du terme - prix d'offre - semble avoir été supposé évident lorsque ce terme était appliqué A  une unité de la production ndable d'une entreprise individuelle; et on n'a pas jugé nécessaire d'approfondir davantage la question. Or, lorsqu'on s'occupe et de ce qui est acheté aux autres entreprises et de l'usure subie par le propre équipement de l'entreprise du fait qu'il contribue A  la production de l'unité marginale, on rencontre toute la série de complications qui accomnent la définition du renu. MASme si on admet qu'en cas d'achats faits aux autres entreprises le coût marginal des achats correspondant A  la nte d'une unité additionnelle de production doit AStre déduit du produit unitaire de la nte pour qu'apparaisse ce qu'on appelle le prix d'offre de l'entreprise, il reste encore A  tenir compte du désinstissement qu'entraine dans le propre équipement de l'entreprise la production de l'unité marginale. MASme si la production tout entière est élaborée par une entreprise complètement intégrée, il est encore illégitime de supposer que le coût d'usage marginal est nul, c'est-A -dire qu'en règle générale le désinstissement marginal déterminé dans l'équipement par la production de l'unité marginale peut AStre négligé.
Les concepts de coût d'usage et de coût supplémentaire nous permettent aussi d'élir un rapport plus clair entre le prix d'offre de longue période et le prix d'offre de courte période. Le coût de longue période doit évidemment comprendre une somme destinée A  couvrir le coût supplémentaire fondamental ainsi que la moyenne dûment évaluée sur la durée de l'équipement du coût premier* attendu. Autrement dit, le coût de longue période de la production est égal A  la valeur attendue de la somme du coût premier et du coût supplémentaire ; en outre, pour laisser un profit normal, le prix d'offre de longue période doit dépasser le coût de longue période ainsi calculé d'un montant qu'on détermine en appliquant au coût de l'équipement un taux de pourcentage égal au taux d'intérASt courant des emprunts d'échéance et de risque ables. Ou encore, si l'on préfère prendre un taux d'intérASt - pur - applicable dans tous les cas, le coût de longue période devra comprendre un troisième terme, qu'on pourrait appeler le coût de risque, destiné A  couvrir les différences qui pour des causes inconnues pourront apparaitre entre le - produit - prévu et le - produit - effectif. Ainsi le prix d'offre de longue période est égal A  la somme des dirs composants que l'on y peut distinguer, savoir : le coût premier, le coût supplémentaire, le coût de risque et le coût d'intérASt. Quant au prix d'offre de courte période, il est égal au coût Premier marginal. L'entrepreneur, lorsqu'il achète ou construit son équipement, doit donc espérer couvrir son coût supplémentaire, son coût de risque et son coût d'intérASt au moyen de l'excédent de la valeur marginale du coût premier sur sa valeur moyenne ; par suite dans un équilibre de longue période, l'excédent du coût premier marginal sur le coût premier moyen est égal A  la somme du coût supplémentaire, du coût de risque et du coût d'intérASt (1).
Le volume de la production pour lequel le coût premier marginal est exactement égal A  la somme du coût premier et du coût supplémentaire moyens présente une importance spéciale ; car c'est ac ce volume que l'entrepreneur boucle exactement son compte d'exploitation. Autrement dit, ce volume correspond au point où son profit net est nul ; au-dessous de ce volume il exploite ac une perte nette.
La mesure dans laquelle on est obligé de tenir compte du coût supplémentaire indépendamment du coût premier varie grandement d'un type d'équipement A  l'autre. Voici deux cas extrASmes :
1A° Une partie de l'entretien de l'équipement coïncide nécessairement ac l'acte d'utilisation (par exemple le travail de graissage des machines). La dépense correspondante (non compris les achats au dehors) est incluse dans le coût de facteur. Si, pour des raisons physiques, le montant exact de toute la dépréciation courante est nécessairement compensé de cette faA§on, le montant du coût d'usage (non compris les achats au dehors) est égal et de signe contraire A  celui du coût supplémentaire ; et dans un équilibre de longue période le coût de facteur marginal dépasserait le coût de facteur moyen d'un montant égal A  la somme du coût de risque et du coût d'intérASt.
2A° Une partie de la détérioration de la valeur de l'équipement ne se produit que s'il est utilisé. Pour autant qu'elle n'est pas corrigée A  mesure qu'on utilise ledit équipement, le coût correspondant est imputé au coût d'usage. Si les pertes de valeur de l'équipement se produisent exclusiment de cette faA§on, le coût supplémentaire est nul.
Peut-AStre serait-il utile de remarquer que, si les entrepreneurs n'utilisent pas en premier lieu leurs équipements les plus vieux et les moins bons, c'est parce qu'ils ne considèrent pas seulement le faible coût d'usage de ces équipements ; celui-ci en effet peut AStre plus que compensé parleur inefficacité relati, c'est-A -dire par l'élévation de leur coût de facteur. Aussi les entrepreneurs utilisent-ils de préférence la partie de leur équipement qui permet d'obtenir par unité produite la somme la plus petite du coût de facteur et du coût d'usage (1). Il s'ensuit qu'A  tout volume (2) de la production considérée correspond un coût d'usage, mais qu'il n'existe pas de relation uniforme entre ce coût d'usage total et le coût d'usage marginal, c'est-A -dire l'accroissement du coût d'usage résultant d'un accroissement du volume de la production.

Le coût d'usage constitue l'un des liens entre le présent et le futur. L'entrepreneur en effet, lorsqu'il fixe son échelle de production, se trou dans l'alternati ou d'utiliser immédiatement son équipement ou de le réserr pour un usage futur. C'est l'évaluation du bénéfice futur sacrifié du fait de l'utilisation immédiate qui détermine le montant du coût d'usage, et c'est le montant marginal de ce sacrifice qui, joint au coût de facteur marginal et au - produit - marginal attendu, détermine son échelle de production. Comment, dès lors, l'entrepreneur calcule-t-il le coût d'usage d'un acte de production ?
Selon la définition que nous avons donnée, le coût d'usage est la réduction de valeur subie par l'équipement du fait de son utilisation par rapport A  celle qu'il aurait subie s'il n'avait pas servi, diminuée d'une part du coût de l'entretien et des améliorations qu'il y aurait eu néanmoins avantage A  effectuer et augmentée d'autre part des achats faits aux autres entrepreneurs. Pour déterminer ce coût d ' usage, il faut donc calculer la valeur actuelle du rendement additionnel probable qui serait obtenu quelque jour si l'équipement n'était pas utilisé immédiatement. Or cette valeur est au moins égale A  la valeur actuelle de la possibilité de surseoir au remplacement de l'équipement, qui sera la conséquence de son inactivité ; et elle peut lui AStre supérieure (1).
S'il n'y a pas de surplus ou de stocks superflus et si par conséquent de noulles unités d'un équipement similaire sont produites chaque année pour AStre adjointes ou substituées aux anciennes, il est évident que le coût d'usage se calculera d'après le raccourcissement que l'utilisation de l'équipement fera subir A  son existence ou A  son activité et d'après son coût de remplacement courant. S'il y a au contraire un excès d'équipement, le coût d'usage dépendra aussi du taux de l'intérASt et du coût supplémentaire courant (c'est-A -dire évalué de nouau) correspondant A  la durée prévue de la résorption de l'excès par l'usure, etc. C'est ainsi que le coût d'intérASt et le coût supplémentaire courant entrent d'une faA§on indirecte dans le calcul du coût d'usage.
Le calcul se présente sous sa forme la plus simple et la plus intelligible lorsque le coût de facteur est nul, par exemple dans le cas d'un stock surabondant d'une matière première telle que le cuivre ; comme nous l'avons déloppé dans notre Treatise on Money, Vol. II, chap. 19. Considérons la série des valeurs probables du cuivre A  dirses époques futures, série qui dépend de la vitesse A  laquelle l'excédent se résorbe et qui tend graduellement rs le coût jugé normal. La valeur présente du coût d'usage d'une tonne de cuivre est égale A  la plus grande des valeurs obtenues en retranchant de la valeur probable d'une tonne de cuivre A  chacune des dates futures, le coût d'intérASt et le coût supplémentaire courant d'une tonne de cuivre entre l'époque actuelle et la date considérée.
De la mASme manière le coût d'usage d'un navire, d'une usine ou d'une machine, lorsque l'offre de ces catégories d'équipement est surabondante, est la valeur actuelle de leur coût estimé de remplacement, calculée au moyen d'un taux d'escompte égal au pourcentage de ce coût que représente la somme de leur coût d'intérASt et de leur coût supplémentaire courant jusqu'A  la date probable de la résorption de l'excédent.
Nous avons supposé précédemment que l'équipement devait AStre remplacé le moment nu par un article identique. Si l'équipement considéré n'est pas destiné A  AStre remplacé A  l'identique lorsqu'il sera usé, son coût d'usage devra AStre calculé en réduisant le coût d'usage de l'équipement nouau qui sera installé A  sa place A  l'époque où il sera réformé au prorata de leurs efficacités respectis.

Le lecteur remarquera que, lorsque l'équipement n'est pas désuet mais simplement surabondant pour un certain temps, la différence entre la valeur effecti du coût d'usage et sa valeur normale (c'est-A -dire sa valeur quand il n'y a pas d'excédent d'équipement) varie ac le laps de temps que l'on juge devoir s'écouler avant que l'excédent soit résorbé. Aussi bien, si le type d'équipement considéré comprend des éléments de tout age et ne formant pas bloc, de telle sorte qu'une proportion nole de cet équipement arri chaque année au terme de son existence, le coût d'usage marginal ne baissera pas beaucoup A  moins que la surabondance n'atteigne un degré exceptionnel. Dans le cas d'une dépression générale le coût d'usage marginal dépend de la durée probable que les entrepreneurs assignent A  la crise. La hausse du prix d'offre lorsque les affaires commencent A  s'améliorer peut donc AStre due en partie A  un fort accroissement du coût d'usage marginal, A  la suite d'un changement de leurs prévisions.
On a parfois soutenu, contrairement A  l'opinion des hommes d'affaires, que des programmes organisés de destruction d'outillage surabondant ne pouvaient produire la hausse désirée des prix que s'ils s'appliquaient A  l'intégralité de l'outillage en excès. Mais la notion de coût d'usage montre que la destruction de la moitié, par exemple, de l'outillage en excès peut déterminer une hausse immédiate des prix. Une telle politique, en rapprochant la date de la résorption de l'outillage en excès, accroit en effet le coût d'usage marginal et partant le prix d'offre courant. Les hommes d'affaires semblent donc avoir la notion de coût d'usage implicitement dans la tASte, encore qu'ils ne l'aient pas exprimée distinctement.
Si le coût supplémentaire est élevé, il s'ensuit que le coût d'usage marginal est faible quand il y a un excès d'équipement. Au surplus, quand l'équipement est en excès, les valeurs marginales du coût de facteur et du coût d'usage ont peu de chance de beaucoup dépasser leurs valeurs moyennes. Si ces deux conditions sont remplies, l'existence d'un équipement surabondant est de nature A  causer dans l'exploitation des entrepreneurs une perte nette et parfois une perte nette importante. Entre une telle situation et la situation bénéficiaire normale, qui apparait au moment où l'excédent est résorbé, il n'y a pas de transition brusque. A mesure que l'excédent diminue, le coût d'usage s'élè graduellement et la différence entre les valeurs marginales et les valeurs moyennes des coûts de facteur et d'usage peut aussi s'accroitre graduellement.
Dans les Principles of Economies de Marshall (1) (6e édit., p. 360) une partie du coût d'usage est comprise dans le coût premier sous la rubrique - détérioration supplémentaire de l'outillage -. Mais il n'est donné aucune indication sur la manière de calculer ce facteur ni sur son importance. Le Professeur Pigou dans sa Theory of Unemploy-ment (p. 42) soutient expressément que le désinstissement marginal déterminé dans l'équipement parla production marginale peut, en règle générale, AStre négligé. - Les variations dans l'importance de la détérioration subie par l'équipement et dans les coûts du travail autre que manuel employé, qui accomnent les variations du volume de la production, sont négligées, comme étant en général d'importance secondaire (2). - A la vérité, l'idée que le désinstissement subi par l'équipement est nul A  la marge de la production se retrou dans un bon nombre de théories économiques récentes. Mais le problème tout entier se pose sous une forme évidente dès qu'on juge nécessaire d'expliquer exactement ce que signifie le prix d'offre d'une entreprise individuelle.
Il est vrai que le coût de conservation d'un outillage inactif peut sount, pour les raisons indiquées précédemment, diminuer l'importance du coût d'usage marginal, en particulier lors d'une dépression qu'on pense devoir AStre de longue durée. Néanmoins l'extrASme faiblesse du coût d'usage A  la marge n'est pas un caractère de la courte période en tant que telle, mais bien de certaines situations et de certains types d'équipement comportant un coût élevé de conservation de l'outillage inactif et aussi de ces déséquilibres marqués par un très rapide vieillissement ou par une grande surabondance de l'équipement surtout si ceux-ci se doublent d'une forte proportion d'outillage atiment neuf.
Dans le cas des matières premières, la nécessité de tenir compte du coût d'usage est évidente ; si une tonne de cuivre est utilisée aujourd'hui elle ne pourra AStre utilisée demain, et il est clair qu 'il faut considérer comme une partie du coût d'usage marginal la valeur éntuelle du cuivre pour les usages futurs. Mais on n'a pas compris que le cas du cuivre n'était qu'un cas extrASme parmi tous les cas où un équipement en capital est utilisé pour la production. L'hypothèse qu'il existe une séparation nette entre les matières premières, pour lesquelles il faut tenir compte du désinstissement inhérent A  leur usage, et le capital fixe, pour lequel celui-ci peut AStre légitimement négligé, ne correspond pas A  la réalité, particulièrement dans une situation normale, où une partie de l'équipement doit AStre chaque année remplacée et où son utilisation rapproche la date A  laquelle son remplacement sera nécessaire.
C'est un avantage des concepts de coût d'usage et de coût supplémentaire qu'ils s'appliquent au capital circulant* et au capital liquide* aussi bien qu'au capital fixe*. La différence essentielle entre les matières premières et le capital fixe ne réside pas dans leur assujettissement au coût d'usage et au coût supplémentaire, mais dans le fait que le retour des matières premières A  l'état de capital liquide se fait en une seule opération, tandis que, dans le cas du capital fixe, qui dure et ne s'use que graduellement, ce retour consiste en une série de coûts d'usage et de profits gagnés au cours de périodes successis.



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