Dans une quinzaine d'années, les agences de marketing direct -n'existeront plus. Non parce que les méthodes qu'elles mettent en œuvre seront tombées en désuétude, mais parce que les agences de
publicité et les grands groupes de communication auront récupéré à leur profit l'outil que
le marketing direct est le seul à employer aujourd'hui : les bases de données '.
Grace aux bases de données, la publicité générale découvrira — preus à l'appui — qui sont réellement ses prospects, et ce qu'ils attendent d'elle. Débarrassée de l'objectif déformant des études médias, elle disposera de ses propres méthodes d'instigation et d'analyse, et sera capable de cibler sélectiment. Dès lors, la publicité générale sera capable d'effectuer un choix objectif (et économiquement justifié) entre publicité directe et indirecte.
Dans ce qui est, à mon avis, le meilleur ouvrage jamais publié sur l'anir de
la communication, MaxiMarketing, Stan Rapp et Thomas Collins déloppent une théorie visionnaire étonnante, qui démontre que l'exploitation des bases de données va denir incontournable pour quiconque désire promouvoir un produit, une idée ou un service. Pour les auteurs, les méthodes employées aujourd'hui par le marketing direct vont s'imposer à tous les communicants, sans exception.
Pour en arrir là, le marketing direct aura fait un petit pas rs la publicité ; et la publicité aura fait aura fait cinquante grandes enjambées rs le marketing direct. De cette conrgence émergera une noulle forme de communication. Une communication mieux ciblée, plus synergique, plus intelligente. Bref, mille fois plus efficace.