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MANAGEMENT

Le management ou la gestion est au premier chef : l'ensemble des techniques d'organisation des ressources mises en œuvre dans le cadre de l'administration d'une entité, dont l'art de diriger des hommes, afin d'obtenir une performance satisfaisante. Dans un souci d'optimisation, le périmètre de référence s'est constamment élargi. La problématique du management s'efforce - dans un souci d'optimisation et d'harmonisation- d'intègrer l'impact de dimensions nouvelles sur les prises de décision de gestion.


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La propension marginale a  consommer et le multiplicateur

Jusqu'ici nous ne nous sommes occupés que des accroissements nets de l'investissement. Si on veut appliquer sans restrictions ce qui précède A  l'effet d'un accroissement des travaux publics (par exemple) il faut supposer que cet accroissement n'est compensé ni par une diminution de l'investissement en d'autres secteurs ni par changement concomitant dans la propension de la communauté A  consommer. Dans l'article mentionné plus haut, M. Kahn a surtout cherché A  examiner les compensations qui, en raison de leur importance, méritent d'AStre prises en considération et il s'est efforcé de suggérer des estimations quantitatives. Dans un cas concret en effet, il existe plusieurs facteurs qui, avec tout accroissement spécifique d'un investissement d'une nature déterminée, concourent au résultat final. Si, par exemple, un Gouvernement emploie 100.000 hommes de plus A  des travaux publics et si le multiplicateur (tel qu'il a été précédemment défini) est égal A  4, il n'est pas sûr que l'emploi global augmentera de 400.000 unités. Car une telle politique peut avoir des effets défavorables sur l'investissement en d'autres secteurs.
Dans une communauté moderne les principaux facteurs A  prendre en considération (suivant M. Kahn) semblent AStre les suivants (pour bien comprendre les deux premiers le lecteur devra peut-AStre attendre le Livre IV) :
1A° Le mode de financement de ladite politique ainsi que l'accroissement des fonds de roulement que requièrent l'emploi additionnel et la hausse corrélative des prix, peuvent avoir pour effet d'élever le taux de l'intérASt et par suite de ralentir l'investissemet en d'autres secteurs, si l'autorité monétaire ne prend pas les mesures compensatoires. En mASme temps l'augmentation du coût des biens de capital diminue leur rendement marginal pour les investisseurs particuliers ; il faudrait une baisse effective du taux de l'intérASt pour compenser cet effet.
2A° étant donné les conceptions confuses qui prévalent souvent, le programme du Gouvernement par son effet sur - la confiance - peut accroitre la préférence* pour la liquidité ou diminuer l'efficacité marginale du capital*, ce qui peut aussi ralentir l'investissement en d'autres secteurs si aucune mesure compensatrice n'interent.
3A° Dans un système ouvert, en relations commerciales avec l'étranger, le multiplicateur de l'investissement supplémentaire contribuera en partie A  relever l'emploi dans les pays étrangers, puisqu'une partie de la consommation additionnelle réduira l'excédent de notre balance extérieure ; aussi bien, lorsqu'on considère l'effet d'un accroissement de l'investissement sur le seul emploi intérieur, en tant que distinct de l'emploi mondial, il faut réduire la pleine valeur du multiplicateur. Il est vrai que notre pays peut récupérer une partie de la fuite grace aux répercussions favorables qu'exerce sur son actité économique l'action du multiplicateur dans les pays étrangers.
Au surplus, si l'on considère des variations d'une certaine ampleur, il faut faire état de la variation progressive de la propension marginale A  consommer, et partant du multiplicateur, A  mesure que la marge se déplace. La propension marginale A  consommer n'est pas la mASme quel que soit le niveau de l'emploi et il est probable qu 'en règle générale elle tend A  diminuer quand l'emploi augmente ; autrement dit, lorsque le revenu réel augmente, la communauté ne désire consommer qu'une proportion graduellement décroissante de son revenu.
Outre l'action de la loi générale que nous venons d'énoncer, il existe d'autres facteurs qui peuvent contribuer A  modifier la propension marginale A  consommer et partant le multiplicateur ; il est probable que ces autres facteurs accentuent plutôt qu'ils n'atténuent l'effet de la loi générale. En premier lieu l'accroissement de l'emploi tend, du fait des rendements décroissants dans la courte période, A  augmenter la proportion du revenu global dévolue aux entrepreneurs, dont la propension marginale indiduelle A  consommer est probablement moindre que la moyenne dans la communauté entière. En second lieu le chômage est normalement associé A  une épargne négative de la part d'indidus ou de collectités, parce que la subsistance des chômeurs peut AStre prélevée soit sur leurs épargnes personnelles ou celles de leurs amis, soit sur un secours public partiellement financé par l'emprunt. La résorption du chômage supprime graduellement ces actes particuliers d'épargne négative ; elle réduit donc la propension marginale A  consommer plus rapidement que ne l'eût fait un accroissement égal du revenu réel de la communauté survenu en des circonstances différentes.
En tout cas, si l'accroissement de l'investissement est faible, le multiplicateur a des chances d'AStre plus grand que si l'accroissement est fort ; aussi, lorsqu'on a en vue des variations d'une certaine ampleur, il faut se guider sur la valeur moyenne du multiplicateur qui correspond A  la valeur moyenne de la propension marginale A  consommer dans tout le champ de la variation ensagée.
M. Kahn a examiné sur le quantitatif l'effet probable des facteurs de cette nature dans certains cas hypothétiques spéciaux. Mais il n'est édemment pas possible de beaucoup généraliser. On peut tout au plus dire, par exemple, que dans une communauté typique moderne, formant un système fermé et dans laquelle la consommation des chômeurs est prélevée sur celle des autres consommateurs, la tendance serait probablement de ne pas consommer beaucoup moins que 80 % d'un accroissement de revenu réel, de telle sorte que le multiplicateur, compte tenu des réactions compensatrices, ne serait guère inférieur A  5. Toutefois, dans un pays où le commerce extérieur représente 20 % de la consommation et dans lequel les chômeurs reA§oivent sur des fonds d'emprunt ou d'un effet équivalent jusqu'A  50 % de leur consommation normale des périodes d'emploi, le multiplicateur peut tomber assez bas pour seulement doubler ou tripler l'emploi fourni par un nouvel investissement déterminé. Aussi dans un pays où le commerce extérieur tient une place importante et dans lequel le secours de chômage est largement financé par l'emprunt (comme c'était le cas notamment en Grande-Bretagne en 1931) la variation de l'emploi associée A  une variation donnée de l'investissement est-elle beaucoup moins forte que dans un pays où ces conditions n'existent pas au mASme degré (par exemple aux états-Unis en 1932) (1).
En tout cas c 'est par le principe général du multiplicateur qu 'il faut chercher A  expliquer comment des fluctuations du volume de l'investissement qui sont relativement faibles par aison avec le revenu national peuvent engendrer dans les volumes globaux de l'emploi et du revenu des fluctuations d'une ampleur beaucoup plus considérable.

Nous avons raisonné jusqu'ici en supposant que la variation de l'investissement global était prévue assez longtemps A  l'avance pour que les industries travaillant pour la consommation progressent au mASme rythme que les industries travaillant pour l'investissement, sans autre perturbation pour les prix des biens de consommation que celle résultant, dans les conditions de rendements décroissants, de l'augmentation de la quantité produite.
Or le cas général A  considérer est celui où le processus a pour origine un accroissement d'actité dans les industries produisant les biens de capital, qui n'a pas été entièrement prévu. Il est clair qu'une cause originelle de ce type ne produira son plein effet sur l'emploi qu'après un certain laps de temps. Néanmoins nous avons constaté dans la discussion que ce fait édent engendrait souvent quelque confusion entre la théorie logique du multiplicateur, qui se vérifie d'une faA§on continue, sans décalage, A  tous les instants successifs, et les conséquences d'une expansion dans les industries produisant les biens de capital, laquelle n'agit que lentement, graduellement et après un certain délai.
Le rapport entre les deux aspects de la question pourra AStre mis en lumière par les remarques suivantes. D'abord une expansion non ou imparfaitement prévue dans les industries produisant les biens de capital n'a pas pour effet une augmentation instantanée de mASme montant dans l'ensemble de l'investissement, elle n'y détermine qu'une augmentation graduelle. En second lieu elle peut amener la propension marginale A  consommer A  s'ésectiuner temporairement de sa valeur normale pour y revenir graduellement par la suite.
Ainsi une expansion des industries produisant les biens de capital cause dans l'investissement global une série d'accroissements échelonnés sur les périodes successives d'un certain intervalle de temps, et elle amène la propension marginale A  consommer A  prendre durant ces périodes une série de valeurs qui diffèrent tout A  la fois de celle qu'elle aurait prise si l'expansion avait été prévue et de celle qu'elle prendra lorsque la communauté aura réli son investissement global A  un nouveau montant sle. Mais dans chaque période la théorie du multiplicateur s'applique, en ce sens que l'accroissement de la demande globale est égal au produit de l'accroissement de l'investissement dans son ensemble par le multiplicateur tel qu'il est alors déterminé par la propension marginale A  consommer.
L'explication de ces deux ordres de faits apparait plus clairement lorsqu'on considère le cas extrASme où l'augmentation de l'emploi dans les industries produisant les biens de capital est si complètement imprévue qu'il n'y a tout d'abord aucun accroissement dans la production des biens de consommation. Dans ce cas, les efforts des indidus nouvellement employés dans les industries produisant les biens de capital pour consommer une certaine proportion de leurs revenus supplémentaires feront monter les prix des biens de consommation jusqu'A  ce qu'un équilibre temporaire de l'offre et de la demande s'élisse sous le triple effet, de l'ajournement de la consommation produit par la hausse des prix, du changement favorable aux classes épargnantes qu'entraine dans la répartition des revenus l'augmentation des bénéfices consécutive A  la hausse des prix et enfin de la diminution des stocks qui résulte de la hausse des prix. Dans la mesure où l'équilibre est réli par l'ajournement de la consommation, on se trouve en présence d'une réduction temporaire de la propension marginale A  consommer, c'est-A -dire du multiplicateur lui-mASme, et, dans la mesure où il y a une diminution des stocks, l'accroissement de l'investissement global reste pendant un temps inférieur A  l'accroissement de l'investissement dans les industries produisant les biens de capital, ' autrement dit le multiplicande ne s'accroit pas de tout le montant de l'investissement additionnel dans les industries produisant les biens de capital. Cependant les industries qui produisent les biens de consommation s'adaptent peu A  peu A  la demande nouvelle. Lorsque la consommation différée se réalise, la propension A  consommer s'élève pour un temps au-dessus de sa valeur normale, ce qui compense la baisse antérieure, puis reent A  sa valeur normale. D'autre part la reconstitution des stocks A  leurs niveaux antérieurs amène l'accroissement de l'investissement global A  AStre pendant un temps supérieur A  l'accroissement de l'investissement dans les industries produisant les biens de capital (l'accroissement du capital circulant* qui correspond A  la production accrue ayant temporairement le mASme effet).
Le fait qu'un changement imprévu ne produit son plein effet sur l'emploi qu'après un certain laps de temps a de l'importance dans certaines discussions ; il interent notamment dans l'analyse du cycle économique (selon la ligne que nous avons suie dans le Treatise on Money). Mais il ne saurait en aucune faA§on limiter la portée de la théorie du multiplicateur telle qu'elle est présentée dans ce chapitre ni enlever A  ce coefficient sa valeuren tant qu ' indice de l'amélioration totale de l'emploi qui doit AStre attendue d'une expansion dans les industries produisant les biens de capital.
Au surplus, sauf dans le cas où déjA  les industries produisant les biens de consommation travaillent presque A  leur pleine capacité et où par conséquent l'expansion de la production n'exige pas seulement un emploi plus intense de l'outillage existant mais encore un accroissement de cet outillage, il n'y a pas de raison de penser qu'il doive s'écouler beaucoup de temps avant que l'emploi dans les industries de biens de consommation progresse au mASme rythme que dans les industries de biens de capital, avec une valeur du multiplicateur voisine de la normale.

Quand il existe du chômage involontaire, la désutilité* marginale du travail est nécessairement moindre que l'utilité de la production marginale. A dire vrai, elle peut lui AStre grandement inférieure. Car, pourun homme qui est resté longtemps sans emploi, il arrive que dans certaines limites, le travail au lieu d'impliquer de la désutilité ait une utilité positive. Ceci étant admis, le raisonnement qui précède montre comment des dépenses sur fonds d'emprunt (1) peuvent, mASme lorsqu'elles sont inutiles, enrichir en définitive la communauté. La construction de pyramides, les tremblements de terre et jusqu'A  la guerre peuvent contribuer A  accroitre la richesse, si l'éducation des hommes d'état dans les principes de l'économie Qassique s'oppose A  une solution meilleure.
Il est curieux que le bon sens populaire, dans son effort pour échapper A  des conclusions absurdes, ait pu aller jusqu'A  préférer les dépenses sur fonds d'emprunt totalement inutiles aux dépenses partiellement inutiles, qui, n'étant pas complètement dépourvues d'utilité, risquent d'AStre jugées au regard des principes strictement - commerciaux -. C'est ainsi que le financement des secours de chômage par l'emprunt est plus facilement accepté que le financement d'améliorations économiques A  des conditions inférieures au taux de l'intérASt courant ; et que la plus acceple de toutes les solutions consiste A  creuser dans le sol des trous connus sous le nom de mines d'or, solution qui non seulement ne saurait ajouter quoi que ce soit A  la richesse réelle du monde mais qui encore engendre du travail inutile.
Si la Trésorerie était disposée A  emplir de billets de banque des eilles bouteilles, A  les enfouir A  des profondeurs convenables dans des mines désaffectées qui seraient ensuite comblées avec des détritus urbains, et A  autoriser l'entreprise privée A  extraire de nouveau les billets suivant les principes éprouvés du laissez-faire (le droit d'exploiter les terrains billetifères étant, bien entendu, concédé par adjudication), le chômage pourrait disparaitre et, compte tenu des répercussions, il est probable que le revenu réel de la communauté de mASme que sa richesse en capital seraient sensiblement plus élevés qu'ils ne le sont réellement. A vrai dire, il serait plus sensé de construire des maisons ou autre chose d'utile ; mais, si des difficultés politiques et pratiques s'y opposent, le moyen précédent vaut encore mieux que rien.
Entre un semblable expédient et les mines d'or du monde réel l'analogie est complète. Aux époques où on trouve de l'or A  des profondeurs convenables, l'expérience prouve que la richesse réelle du monde s'accroit rapidement ; et, quand on ne le trouve qu'en faible quantité, la richesse reste étale ou mASme décline. Les mines d'or ont pour la cilisation une valeur et une importance extrASmes. De mASme que la guerre a été le seul cas où les hommes d'état aient pensé que de larges dépenses sur fonds d'emprunt fussent justifiées, de mASme l'extraction de l'or est le seul prétexte A  creuser des trous dans le sol que les banquiers aient considéré comme de la finance saine ; chacune de ces deux actités a joué un rôle dans le progrès ' A  défaut d'une solution meilleure. Indiquons en passant que la tendance du prix de l'or A  monter pendant les périodes de dépression par rapport au prix de la main-d'œuvre et des marchandises aide A  la reprise éventuelle, parce qu'elle augmente la profondeur et diminue la teneur, A  partir desquelles l'extraction du minerai aurifère est payante.
Outre l'effet probable de l'accroissement de l'offre d'or sur le taux de l'intérASt, il y a deux raisons pour que l'extraction de l'or soit une forme d'investissement au plus haut point recommandable, lorsque l'investissement ne peut AStre accru par des moyens propres A  accroitre en mASme temps le stock de richesses utiles. Tout d'abord, en raison de l'attrait spéculatif de cette sorte d'investissement, on le poursuit sans faire grande attention aux taux de l'intérASt en gueur. Ensuite son résultat, c'est-A -dire l'augmentation du stock d'or, n'a pas pour effet comme dans le cas des autres investissements d'en diminuer l'utilité marginale. Puisque la valeur d'une maison dépend de son utilité, chaque fois qu'on batit on diminue la rente qu'on peut espérer obtenir d'une construction ultérieure ; et on affaiblit par conséquent l'attrait d'un nouvel investissement similaire, A  moins que le taux de l'intérASt ne baisse parallèlement. L'extraction du métal précieux ne présente pas le mASme inconvénient ; le seul frein A  cette extraction ent de la hausse du montant de l'unité de salaire exprimé en or, hausse qui a peu de chance de se produire avant que l'emploi se soit grandement amélioré. Au surplus il n'y a pas A  prévoir, comme dans le cas des richesses moins durables, un effet en retour dû aux prosions constituées au titre du coût d'usage* et du coût supplémentaire*.
L'ancienne Egypte avait le double prilège, qui explique sans doute sa richesse fabuleuse, de posséder deux sortes d'actités, la construction de pyramides et l'extraction de métaux précieux, dont les fruits, du fait qu'ils servent aux besoins de l'homme sans AStre consommés, ne s'alissent pas A  raison de leur abondance. Le Moyen Age construisait des cathédrales et chantait des requiem. Deux pyramides, deux messes pour un mort valent deux fois plus qu'une seule. Mais ceci n'est pas vrai de deux voies ferrées reliant Londres A  York. Ainsi nous sommes si raisonnables, nous nous sommes donné une apparence si accomplie de financiers prudents, avant tout soucieux de ne pas accroitre les charges - financières - de la postérité en construisant des maisons où elle vrait, qu'il ne nous est plus si facile d'échapper aux épreuves du chômage. Nous sommes obligés de les accepter comme la conséquence inéle du fait qu'on applique A  la conduite de l'état des maximes conA§ues pour enrichir un indidu en lui permettant d'accumuler des droits de jouissance qu'il n'a l'intention d'exercer A  aucune époque déterminée.



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