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ECONOMIE

L'économie, ou l'activité économique (du grec ancien οἰκονομία / oikonomía : « administration d'un foyer », créé à partir de οἶκος / oîkos : « maison », dans le sens de patrimoine et νόμος / nómos : « loi, coutume ») est l'activité humaine qui consiste en la production, la distribution, l'échange et la consommation de biens et de services. L'économie au sens moderne du terme commence à s'imposer à partir des mercantilistes et développe à partir d'Adam Smith un important corpus analytique qui est généralement scindé en deux grandes branches : la microéconomie ou étude des comportements individuels et la macroéconomie qui émerge dans l'entre-deux-guerres. De nos jours l'économie applique ce corpus à l'analyse et à la gestion de nombreuses organisations humaines (puissance publique, entreprises privées, coopératives etc.) et de certains domaines : international, finance, développement des pays, environnement, marché du travail, culture, agriculture, etc.


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Quand l'histoire bouscule les doctrines



n matière de déloppement, les idéologies n'ont pas résisté A  l'épreu de l'histoire. L'idée se répand que la dynamique de modernisation est le produit de facteurs dirs : Etat, marché, culture, technique, démographie, action locale, solidarité internationale



LORSQUE j'entends parler de déloppement, je sors mon mouchoir. - Tel pourrait AStre le propos du spectateur - engagé ou non - devant les images et analyses qui nous sont habituellement données des pays A  la périphérie du monde industrialisé : famine en Somalie, enfants brésiliens abandonnés, Indiens Yanomami exterminés par la maladie et chassés de leur territoire, épidémies du Sida en Afrique, inondations au Bangladesh, bidonvilles de Calcutta, etc. Comble de découragement, il semblerait que les politiques engagées en faur du déloppement depuis quarante ans conduisent A  plus d'effets perrs que de bienfaits : crises financières, étranglement par la dette, aide internationale détournée, déracinement et clochardisation des paysans, déculturation, politiques d'ajustements structurels qui provoquent chômage et révoltes de la faim. Si l'on rajoute A  cela, pour faire bonne mesure, les conflits ethniques, les corruptions, les catastrophes naturelles, il ne manquerait pas de raison de désespérer et de baisser les bras. En fait, quarante ans après le début de la première décennie de déloppement engagé par l'ONU, un bilan objectif des tendances est possible. L'histoire a parlé et tous les modèles de déloppement ont été passés au crible. Parmi les spécialistes un certain accord semble mASme se dégager sur l'analyse critique des politiques menées. Une noulle représentation globale de l'état des PVD et des stratégies de déloppement s'en dégage.

Le déloppement en marche
Contrairement aux idées reA§ues, depuis la Seconde Guerre mondiale la croissance des pays en voie de déloppement a été plus forte que celle des pays industrialisés (2 5 % de croissance annuelle par habitant pour les pays industrialisés et 3,1 % pour les pays du Sud). Globalement la production par habitant a quadruplé. Cette évolution est d'autant plus remarquable que la croissance démographique a été très rapide durant cette période (1). Si depuis le début des années 80, le taux de croissance a fléchi, la cause en est le ralentissement général de l'économie mondiale et non un blocage spécifique des pays du Sud (2).
La croissance économique ne serait-elle qu'un mauvais indicateur ? Le rapport mondial sur le déloppement indique que l'espérance de vie dans les PVD a crû de dix-sept ans entre 1960 et 1990. Durant la mASme période, la ration alimentaire par tASte a augmenté de 20 % ; le taux de mortalité infantile a été réduit de moitié; l'alphabétisation s'est accrue de 40 % (3). Comme le souligne Mahbub Ul Haq, conseiller spécial aux Nations unies : -En fait, les pays en déloppement ont réalisé en trente ans le mASme progrès humain qu'il avait fallu presque un siècle aux pays industrialisés pour accomplir. - (4) Cette évolution globale cache, bien sûr, de grandes disparités. D'un côté, il y a le club des Nouaux Pays Industrialisés (NPI) ou - marchés émergents -, comme les dragons d'Asie (Corée du Sud, Singapour, Hongkong, Taiwan), le Brésil, le Mexique ou encore l'Inde. A l'autre pôle, le groupe des -Pays les moins avancés- (PMA), selon la pudique formule de l'ONU, rassemble les Etats au comble de la misère (Guinée, Afghanistan, Niger, Mali). Entre ces deux extrASmes, il y a d'énormes différences de situation. L'Algérie fait ure de PVD par rapport A  l'Italie mais appartient au clan des pays industrialisés au regard du Niger. Au sein des PVD, il faut distinguer plusieurs groupes : les pays en voie de modernisation (Algérie, Pérou) qui connaissent certes de gras déséquilibres (chômage, manque de logements, inflation, explosion urbaine), mais ne sont pas menacés par la malnutrition ou les épidémies, et les pays les moins avancés qui n'ont pas connu de take off(démar-rage de l'industrialisation) comme le Tchad ou l'Ethiopie (5). De plus, la différence de trajectoire et de niau de déloppement est désormais énorme entre les ex-pays du tiers-monde : l'Afrique noire n'a pas connu de vérile décollage au cours des années 80-90, l'Asie est entrée dans le mASme temps dans le club des pays industrialisés ; l'Amérique latine a subi, durant les années 80, un reflux économique puis est maintenant repartie ; les ex-pays du bloc de l'Est se divisent en deux mondes distincts, celui des pays dont la -transition- est en marche (Pologne, Hongrie, Slovénie) et ceux qui ne parviennent pas A  enclencher une dynamique durable (Russie et pays d'Asie centrale).
Au sein de zones et de sous-continents, il faut ensuite distinguer les dynamiques régionales qui peunt beaucoup varier. Dans les pays industrialisés, la problématique des zones rurales désertifiées et des -exclus- des zones urbaines rejoint celle des PVD. Des actions similaires sont d'ailleurs engagées en Afrique et dans les régions rurales franA§aises en vue de stimuler une dynamique locale. La problématique noulle du -déloppement régional- en est le témoin (6).


Il n'y a donc pas, d'un côté, les pays en voie de déloppement et, de l'autre, les pays industrialisés, mais partout des zones déloppées et d'autres en voie de déloppement ou de marginalisation. Processus infini, le déloppement se mesure A  l'aune de la place tenue dans la compétition internationale. D'une certaine faA§on, tout Etat, toute région qui faiblissent dans cette course sont condamnés A  régresser et A  denir A  leur tour - sous-déloppés -.

Attrait et limites du déloppement local
Le -déloppement local-, appelé aussi - déloppement par le bas - {bottom up change), -auto déloppement- ou encore -déloppement endogène- est apparu depuis le début des années 80 comme la voie de substitution face aux carences des politiques globales. Elle semblait, en effet, posséder plusieurs atouts :
- c'est David contre Goliath. Le déloppement local joue la sectiune du petit contre le grand. Moins ambitieux mais plus concret, car n'étant pas issu d'une sphère extérieure, il ne connait pas les mirages des grands projets. -Small is Beautiful- ;
- réactivant le slogan maoïste -Compter sur ses propres forces-, la voie de l'auto-déloppement met en avant le principe du self help ou self reliance (aide-toi toi-mASme). Mais attention, le déloppement local n'est pas l'autarcie ; il fait internir des apports extérieurs : technologies importées, subntions, ourture au marché national ou mondial. Sa principale rtu est de susciter l'action sur le terrain, d'encourager la mobilisation des hommes ;
- laboratoire d'initiatis différentes et -alternatis-, il ravi l'espoir (mythique?) d'une troisième voie entre l'Etat et le marché grace aux coopératis, associations, entreprises alternatis et solidarités locales ;
- enfin, il respecterait les spécificités culturelles d'une région, s'appuierait sur ses ressources propres, son identité et ses solidarités locales. Contre le déracinement de l'économie mondiale, il donne vie au slogan - Vivre et travailler au pays-.
Paré de tant de rtus, le déloppement local fait ure de -nouau paradigme pour lutter contre la pauvreté-.
Mais - l'auto-déloppement peut-il AStre un contrepoids efficace aux macroprogrammes économiques ?-, s'interroge Koenraad Verhagen, secrétaire général de la CIDSE (7). En réalité, le déloppement par le bas ne pourra jamais contrebalancer ou s'extraire des contraintes de l'économie mondiale. Au demeurant, il ne le recherche pas. Le self help fait internir des administrations territoriales, des aides d'associations (ONG au Sud, association de réinsertion au Nord), des agents de déloppement.
Selon Bernard Pecqueur -la solution endogène ne sera jamais ni un modèle, ni une simple mode- (8) parce qu'elle s'appuie sur une vérité incontournable : les approches globales ne réduiront jamais A  néant la dirsité et les capacités d'initiati (ou de résistance) locales. Riche de promesse, la dynamique locale ne cou pas une noulle orthodoxie. Tout le monde admet aujourd'hui ac les théoriciens de la régulation que le déloppement résulte -d'une dialectique du local et du global-.

Le rôle du facteur humain
La prise en compte de la dynamique régionale a conduit les experts A  centrer leur réflexion autour du rôle central des acteurs de la modernisation. Jusque-lA  dominées par des questions de structures ou de stratégies globales (marché international, dette, stratégies industrielles, transferts de technologies), les théories du déloppement ont négligé le rôle du facteur humain. La grande décourte récente, c'est le rôle des acteurs, la nécessaire mobilisation des populations concernées.
Sans l'émergence d'une classe d'entrepreneurs locaux, tous les programmes d'ajustements structurels seront vains, affirme aujourd'hui la Banque mondiale. On se penche donc sur les conditions d'émergence de cette classe d'entrepreneurs et sur les modèles de management autochtones. Beaucoup de recherches sont actuellement centrées sur le cas africain (9). Quelles leA§ons en tire-t-on? D'abord que l'éclo-sion des nouaux entrepreneurs suppose plusieurs conditions : une formation adéquate, l'arrASt de la fuite des ceraux, le déclin des bureaucraties qui entrant la création d'entreprises, l'attention apportée aux initiatis locales, les capacités de mobilisation d'une épargne locale, etc. Ensuite sont mis en évidence les rapports entre culture et déloppement qui deviennent A  leur tour un objet central d'analyse. Le - facteur humain -, serait donc - au Nord comme au Sud - une des clés de la croissance.

La fin des orthodoxies et des modèles unilatéraux
La troisième grande leA§on de l'histoire de ce X3C siècle concerne l'effondrement de tous les modèles doctrinaux de déloppement. D'abord la voie -socialiste - rs le déloppement, fondée sur la collectivisation des moyens de production, a fait faillite. Ensuite, l'hypothèse d'une -troisième voie- alternati entre capitalisme et socialisme n'a jamais vu le jour. Ces illusions successis annoncent-elles le triomphe de l'économie de marché comme seul modèle réaliste et rationnel ? Y compris dans la sphère communiste, de la Hongrie A  la Chine, la libéralisation des marchés a eu le nt en poupe ces deux dernières décennies. L'analyse attenti des stratégies empruntées par les NPI récuse pourtant la vision libérale orthodoxe. Le cas de la Corée du Sud fait l'objet d'une attention particulière par le caractère exceptionnel de sa réussite et le fait qu'il boulerse tous les modèles d'école. La réussite économique de ce petit pays force l'admiration quand on connait son histoire. Le pays fut partagé en deux après la guerre. Le Nord devint zone communiste, la Corée du Sud fut intégrée dans la zone occidentale sous la protection américaine. Rarement l'histoire offre de tels cas expérimentaux où un pays est séparé en deux parties prenant des voies dirgentes (10). Le partage de la Corée fut largement en faur du Nord communiste où étaient concentrées 80% de l'industrie et des ressources minérales. La guerre de Corée de 1950 A  1953 ravagea le pays et fit 500000 morts. Pourtant, A  partir des années 60, le Sud connait un redressement extraordinaire. En trois décennies, il devient un des NPI les plus prospères. De 1960 A  1990, le PNB a été multiplié par 10, soit 9 % de croissance annuelle ! Une industrie florissante qui exporte aujourd'hui magnétoscopes, automobiles, électronique (la Corée est l'un des seuls pays au monde A  construire des microprocesseurs ac le Japon et les Etats-Unis). Le marché intérieur n'a pas été négligé. Certes, il y a un rers de médaille : les 55 heures de travail hebdomadaire, l'absence de libertés politiques, la dette importante, etc. Mais la Corée est loin d'AStre un -pays atelier- fondé sur la seule surexploitation des salariés. Tous les indicateurs sociaux : renu par habitant (3 600 dollars), taux de scolarisation (94 % dans le supérieur), espérance de vie (69 ans) la rapproche de la zone des pays -déloppés-.




Les secrets du - miracle coréen -

Les libéraux retiendront que la voie coréenne fut celle du capitalisme fondé sur le marché libre et l'ourture A  l'extérieur. Les -étatistes- auront aussi de solides arguments : en Corée, l'Etat est très interntionniste, il -ifie, finance, légifère- (11), sans AStre producteur direct. Les chantres de l'auto-déloppement peunt se prévaloir d'une politique volontariste de substitution d'importations. Les partisans des réformes agricoles soutiendront ac raison que la Corée a adopté -un des rares programmes de réforme agraire mené A  son terme dans le monde- dès les années cinquante (12). En fait, la Corée a emprunté A  tous les modèles sans en adopter vraiment un exclusiment. LA  est son secret.
La démonstration pourrait AStre la mASme pour les pays africains qui s'en sortent le mieux comme la Côte-d'Ivoire ou le Cameroun. Depuis la fin de la guerre, on peut dire que toutes les stratégies de croissance possibles ont été pensées et testées : de l'Etat au tout marché, de l'industrie motrice A  la réforme agraire, de la spécialisation des exportations A  la substitution des importations.
La principale conclusion est la faillite des modèles unilatéraux. Sur le marché des théories du déloppement, tous les modèles doctrinaux reposaient sur un critère dominant : le rôle du marché, celui de l'Etat, celui de l'industrie industrialisant, celui du déloppement auto-centré, etc. Les expériences réussies résultent d'une combinaison de facteurs et non d'un modèle unique.

L'ourture rs la complexité
Tous les -paradigmes idéaux- du déloppement se sont désormais effondrés, les -voies royales - ne font plus recette. Les experts sont aujourd'hui plus circonspects et prudents. -Les économistes du déloppement ont appris A  relativiser les outils qui sont les leurs-, conclut Eisa Assidon dans sa récente synthèse des théories économiques du déloppement (13). On coastate une tendance rs une approche plus complexe qui intègre l'apport et les limites de chaque modèle. Après avoir prôné des politiques très libérales, le FMI insiste maintenant sur le rôle des dynamiques locales et la nécessité de - repenser le rôle de l'Etat-. Les théoriciens de la dépendance admettent leurs erreurs. On sait que l'Etat ne peut rien sans le marché, que le marché n'existe pas sans entrepreneurs, que l'émergence d'une classe d'entrepreneurs suppose une dynamique locale et une culture adéquate, que les entrepreneurs ne peunt rien sans une aide de l'Etat. Le rejet des dogmatismes est assez général. L'idée se répand que la dynamique de modernisation est le produit conjugué de plusieurs dimensions : l'Etat et le marché, la contrainte internationale et l'action locale, la culture et la technologie, l'implication des populations et la solidarité internationale.




Du déloppement aux - marchés émergents -

» En quelques années, les mots -déloppement- et -tiers-monde - ont quasiment disparu, laissant place A  celui de - marchés émergents-.
La notion a fait son entrée au début des années 90 dans les organismes internationaux et les milieux bancaires. Les marchés émergents désignent, dans une optique purement marchande, les régions qui laissent espérer aux instisseurs de larges profits La Chine, l'Inde, le Brésil, les pays de l'Est. Ce sont des régions qui ont connu, dans les années 90, une croissance économique rapide, ac constitution d'une classe moyenne, qui entre de plain-pied dans la consommation de masse et offre des espoirs de constituer de nouaux marchés pour les instisseurs occidentaux. Le terme de marché émergent est donc purement et crûment comple.
Mais il indique aussi une réalité profonde de la période. Certains pays, que l'on considérait il y a peu comme des PVD (pays en voie de déloppement) sont entrés A  vitesse rapide dans le cercle des pays industrialisés. Et, contrairement A  une idée reA§ue, ce déloppement n'a pas profité qu'A  une petite minorité. -Entre 1975 et 1995, l'Asie émergente a vu la part de sa population vivant en dessous du seuil de pauvreté passer, de plus de 60 % A  moins de 20%.'{1)
» La rapidité de ce déloppement cache bien sûr des contradictions. La crise financière de 1997 a rappelé la fragilité des économies et les risques d'une spéculation financière A  outrance sur les marchés noullement créés. En Indonésie, le taux de chômage est passé d'un seul coup de 3 A  20% de la population acti, et ce pays s'est vu incapable de continuer A  acheter des médicaments A  l'étranger, du fait de la dévaluation. La Corée du Sud, qui faisait ure de modèle, a connu la plus forte crise de toute la région.
Et puis l'anarchie du déloppement conduit A  s'interroger sur la possibilité d'un - déloppement durable - qui concilie croissance économique et déloppement social et écologique plus équilibré (2).

Qu'est-ce que le déloppement?
Le terme de déloppement remonte aux années 50. Dans l'optique de ses promoteurs, il désigne le processus de passage des sociétés traditionnelles rs l'industrialisation. Lorsqu'en 1961, l'ONU déclara que les années 60 seraient -/a décennie du déloppement", on pensait alors qu'une dizaine d'années suffirait pour que la plupart des - pays en voie de déloppement - comblent - leur retard - La croissance de la production (PIB par habitant) est la mesure habituellement retenue pour mesurer le niau de déloppement. Synonyme de - modernisation- ou -d'industrialisation-, le déloppement économique est toujours marqué par des transformations sociales significatis :
- le passage de l'économie rurale A  l'économie urbaine ac exode rural, déclin du nombre d'agriculteurs, urbanisation, sala-risation ;
- la scolarisation et ses conséquences : déclin des cultures orales, essor d'une culture techno-scientifique ;
- la transition démographique est une phase d'évolution de la population caractéristique des PVD. La baisse de la mortalité due aux politiques de santé conduit dans un premier temps A  une croissance démographique importante. Puis l'augmentation des niaux de vie et/ou les politiques de limitation des naissances rélissent l'équilibre entre mortalité et natalité.
Le modèle évolutionniste de Rostow qui postule le passage des sociétés traditionnelles aux sociétés de consommation de masse en cinq étapes (dont une phase de take off- décollage -) est discuté. Est-il unirsel? Quelles en sont les étapes? Le sens de révolution est-il toujours le mASme?
L'indicateur de déloppement humain (IDH), une noulle mesure du déloppement
Depuis 1990, le Programme des Nations unies pour le Déloppement publie chaque année une noulle mesure du déloppement, l'IDH, fondé sur une moyenne de trois indicateurs : l'espérance de vie, le niau d'alphabétisation des adultes et le niau de renu par tASte.
Ce noul indicateur ut prendre en compte des dimensions sociales et humaines que le seul PIB par habitant ne suffit pas A  refléter. Il faut cependant constater que le classement n'est pas fondamentalement différent. Il y a bien corrélation entre richesse d'un pays et son niau de déloppement humain.





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